Chronique d'une Mort Annoncée.....La notre !

Je vous donne à lire un document.  qui date de Juin 1985.

 Jugez par vous-même et choisissez votre camp : victime ou rebelle ?


"L'Aurore Rouge", l’agenda pro-NWO écrit en 1985 s’avère particulièrement prédictif

 

Père Régimbald et Serge Monast en 1985 nous annoncent le Nouvel Ordre Mondial.

Révélations importantes à une époque où Internet n'existait pas encore...

Une vidéo archive (en notre possession), montre que Serge Monast -tout comme le Père Régimbald- fut l’un des pionniers de la lutte contre le Nouvel Ordre Mondial, alors même que celui-ci n’était encore dans les médias de l’époque qu’une « théorie du complot » limitée à 2 ou 3 énergumènes plus ou moins dérangés, avant de devenir aujourd’hui l’objectif, voire l’obsession, des Grands de ce Monde et de leurs (très) puissants Maîtres.

[A lire absolument !  Nous avions dans de précédents articles dédiés, relaté les travaux pionniers du Père Régimbald sur le Nouvel Ordre Mondial et les Illuminati, dès les années 80. Voici ci-dessous un texte particulièrement intrigant, censé, selon le journaliste Serge Monast, mort subitement et surtout prématurément tout comme son compatriote le Père Régimbald, avoir été concocté dans une loge crypto-maçonnique dénommée « 666 » : ]

But du Projet Mondialiste : ÉTABLISSEMENT DE L’OCCULTE MONDIAL

Moyens de Financement du Projet : Contrôle du F.M.I., du G.A.T.T., de la Commission de Bruxelles, de l’OTAN, de l’O.N.U. et d’autres Organismes Internationaux.

Les dernières dix-huit années furent très profitables pour l'avancement de nos projets mondiaux. Je peux vous dire, Frères, que nous touchons maintenant presque au but.

La chute des États-Nations n'est plus qu'une question de temps, assez court, dois-je vous avouer en toute confiance.

Grâce à nos Agents d'infiltration et à nos moyens financiers colossaux, des progrès sans précédents ont maintenant été accomplis dans tous les domaines de la Science et de la Technologie dont nous contrôlons financièrement les plus grandes corporations.

Depuis les réunions secrètes avec M. de Rothschild dans les années 56, et qui avaient pour but de mettre au point le développement, et l'implantation mondiale des "Ordinateurs", il nous est maintenant possible d'entrevoir la mise en place d'un genre "d'Autoroute Internationale" où toutes ces machines seraient reliées entre elles.

Car, comme vous le savez déjà, le contrôle direct et individuel des populations de la planète, serait à tout le moins totalement impossible sans l'usage des Ordinateurs, et leur rattachement électronique les uns par rapport aux autres en un vaste "Réseau Mondial".

Ces machines d'ailleurs ont l'avantage de pouvoir remplacer des millions d'individus. De plus, elles ne possèdent ni conscience, ni morale aucune ; ce qui est indispensable pour la réussite d'un projet comme le nôtre.

Surtout, ces machines accomplissent, sans discuter, tout ce qui leur est dicté. Elles sont des esclaves parfaits dont ont tant rêvé nos prédécesseurs, mais sans qu'ils aient été à même de se douter qu'un jour, il nous serait possible d'accomplir un tel prodige.

Ces machines sans patrie, sans couleur, sans religion, sans appartenance politique, sont l'ultime accomplissement et outil de notre Nouvel Ordre Mondial. Elles en sont la "Pierre angulaire" ! L'organisation de ces machines en un vaste "Réseau mondial" dont nous contrôlerons les leviers supérieurs, nous servira à immobiliser les populations. Comment ?

Comme vous le savez, la structure de base de notre Nouvel Ordre Mondial est composée, dans son essence, d'une multitude de "Réseaux" divers couvrant chacun toutes les sphères de l'activité humaine sur toute l'étendue de la planète.

Jusqu'à ce jour, tous ces "Réseaux" étaient reliés entre eux par une base idéologique commune : celle de l'Homme comme étant le "Centre" et "l'Ultime Accomplissement" de l'Univers.

Ainsi, grâce à tous ces "Réseaux" unis par le lien de la "Nouvelle Religion de l'Homme pour l'Homme", nous avons pu facilement infiltrer tous les secteurs humains dans tous les pays Occidentaux, et en modifier la base "Judéo-Chrétienne". Le résultat est qu'aujourd'hui, cet Homme, qu'il fasse partie du Politique, de l'Économique, du Social, de l'Éducation, du Scientifique ou du Religieux, a déjà, depuis notre dernière Réunion de fin Juin 67, abandonné son héritage passé pour le remplacer par notre idéal d'une Religion Mondiale basée uniquement sur l'Homme.

Coupé ainsi qu'il est dorénavant de ses racines historiques, cet Homme n'attend plus, en définitive, que lui soit proposé une nouvelle idéologie. Celle-ci, bien entendue, est la nôtre ; celle du "Village Communautaire Global" dont il sera le "Centre".

Et c'est précisément ce que nous lui apporterons en l'encourageant à faire partie, "Corps et Ame", de ce "Réseau Électronique Mondial" où les frontières des États-Nations auront été à tout jamais abolies, anéanties jusqu'à leurs racines les plus profondes.

Pendant que cet homme égaré sera absorbé par son enthousiasme aveugle à faire partie de sa nouvelle "Communauté Mondiale" en faisant partie de ce vaste "Réseau d'Ordinateurs", pour notre compte, nous verrons, à partir des leviers supérieurs qui lui seront cachés, à le ficher, à l'identifier, à le comptabiliser, et à le rentabiliser selon nos propres objectifs.

 Car à l'intérieur de cette "Nouvelle Société Globale", aucun individu ayant un potentiel de "Rentabilité" pour nous, ne pourra nous échapper.

L'apport constant de la "Technologie Électronique" devra nous assurer de tous les moyens pour ficher, identifier, et contrôler tous les individus des populations de l'Occident.

Quant à ceux qui ne représenteront aucune "Rentabilité Exploitable" par nous, nous verrons à ce qu'ils s'éliminent d'eux-mêmes à travers toutes les guerres intestines locales que nous aurons pris soin de faire éclater ici et là en nous ayant servi, et de la "Chute de l'Économie" des États-Nations, et des "Oppositions et des Revendications" des divers groupes composant ces mêmes États.

Voici donc la manière détaillée par laquelle nous procéderons d'ici 1998 pour paver la route à la naissance de notre "Gouvernement Mondial" :

1.- Décupler la "Société des Loisirs" qui nous a été si profitable à date. En nous servant de l'invention da la "Vidéo" que nous avons financé, et des jeux qui lui sont rattachés, finissons de pervertir la morale de la jeunesse. Offrons-lui la possibilité de satisfaire maintenant tous ses instincts. Un être possédé par ses sens, et esclave de ceux-ci, nous le savons, n'a ni idéal, ni force intérieure pour défendre quoi que ce soit.

Il est un "Individualiste" par nature, et représente un candidat parfait que nous pouvons modeler aisément selon nos désirs et nos priorités. D'ailleurs, rappelez-vous avec quelle facilité nos prédécesseurs ont pu orienter toute la jeunesse allemande au début du siècle en se servant du désabusement de cette dernière !

2. - Encourager la "Contestation Étudiante" pour toutes les causes rattachées à "l'Écologie". La protection obligatoire de cette dernière sera un atout majeur le jour où nous aurons poussé les États-Nations à échanger leur "Dette Intérieure" contre la perte de 33 % de tous leurs territoires demeurés à l'état sauvage.

3. - Comblons le vide intérieur de cette jeunesse en l'initiant, dès son tout jeune âge, à l'univers des Ordinateurs. Utilisons, pour cela, son système d'éducation. Un esclave au service d'un autre esclave que nous contrôlons.

4. - Sur un autre plan, établissons le "Libre-Échange International" comme étant une priorité absolue pour la survie économique des États-Nations.

Cette nouvelle conception économique nous aidera à accélérer le déclin des "Nationalistes" de toutes les Nations ; à les isoler en factions diverses, et au moment voulu, à les opposer farouchement les uns aux autres dans des guerres intestines qui achèveront de ruiner ces Nations.

5. - Pour nous assurer à tout prix de la réussite d'une telle entreprise, faisons en sorte que nos Agents déjà infiltrés dans les Ministères des Affaires Intergouvernementales et de l'Immigration des États-Nations fassent modifier en profondeur les Lois de ces Ministères.

Ces modifications viseront essentiellement à ouvrir les portes des pays occidentaux à une immigration de plus en plus massive à l'intérieur de leurs frontières (immigrations que nous aurons d'ailleurs provoquées en ayant pris soin de faire éclater, ici et là, de nouveaux conflits locaux).

Par des campagnes de Presse bien orchestrées dans l'opinion publique des États-Nations ciblées, nous provoquerons chez celles-ci un afflux important de réfugiés qui aura pour effet, de déstabiliser leur économie intérieure, et de faire augmenter les tensions raciales à l'intérieur de leur territoire. Nous verrons à faire en sorte que des groupes d'extrémistes étrangers fassent partie de ces afflux d'immigrants ; ce qui facilitera la déstabilisation politique, économique et sociale des Nations visées.

6. - Ce "Libre-Échange" qui, en réalité, n'en est pas un car il est déjà contrôlé par nous tout au sommet de la hiérarchie économique, noyautons-le en "Trois Commissions Latérales" : [celle de l'Asie, celle de l'Amérique, celle de l'Europe]. Il nous apportera la discorde à l’intérieur des États Nations par la hausse du chômage relié aux restructurations de nos Multinationales.

7. – Transférons lentement, mais sûrement, nos multinationales dans de nouveaux pays acquis à l’idée de « l'Économie de Marché », tels les pays de l’Est de l’Europe, en Russie et en Chine par exemple. Nous nous fichons bien, pour l’instant, si leur population représente ou non un vaste bassin de nouveaux consommateurs.

Ce qui nous intéresse, c’est d’avoir accès, en premier lieu, à une « Main-d’œuvre-Esclave » (à bon marché et non syndiquée) que nous offrent ces pays et ceux du Tiers-monde. D’ailleurs, leurs gouvernements ne sont-ils pas mis en place par nous ?

Ne font-ils pas appel à l’aide étrangère, et aux prêts de notre « Fond Monétaire International » et de notre « Banque Mondiale » ?

 Ces transferts offrent plusieurs avantages pour nous. Ils contribuent à entretenir ces nouvelles populations dans l’illusion d’une « Libération Économique », d’une « Liberté Politique » alors qu’en réalité, nous les dominerons par l’appétit du gain et un endettement dont ils ne pourront jamais s’acquitter.

Quant aux populations occidentales, elles seront entretenues dans le rêve du [Bien-Être Économique] car les produits importés de ces pays ne subiront aucune hausse de prix. Par contre, sans qu’elles s’en aperçoivent au début, de plus en plus d’industries seront obligées de fermer leurs portes à cause des transferts que nous aurons effectués hors des pays occidentaux. Ces fermetures augmenteront le chômage, et apporteront des pertes importantes de revenus pour les États-Nations.

8. – Ainsi nous mettrons sur pied une « Économie Globale » à l’échelle mondiale qui échappera totalement au contrôle des États-Nations. Cette nouvelle économie sera au-dessus de tout ; aucune pression politique ou syndicale ne pourra avoir de pouvoir sur elle. Elle dictera ses propres « Politiques Mondiales », et obligera à une réorganisation politique, mais selon nos priorités à l’échelle mondiale.

9. – Par cette « Économie Indépendante » n’ayant de Lois que nos Lois, nous établirons une « Culture de Masse Mondiale ». Par le contrôle international de la Télévision, des Médias, nous instituerons une « Nouvelle Culture », mais nivelée, uniforme pour tous, sans qu’aucune « Création » future ne nous échappe.

Les artistes futurs seront à notre image ou bien ne pourront pas survivre. Fini donc ce temps où des « Créations Culturelles Indépendantes » mettaient à tout moment en péril nos projets mondialistes comme cela fut si souvent le cas dans le passé.

10. – Par cette même économie, il nous sera alors possible de nous servir des forces militaires des États Nations (telles celles des États-Unis) dans des buts humanitaires. En réalité, ces « Forces » nous serviront à soumettre des pays récalcitrants à notre volonté. Ainsi les pays du Tiers-Monde et d’autres semblables à eux ne pourront pas être en mesure d’échapper à notre volonté de nous servir de leur population comme main-d’œuvre-esclave.

11. – Pour contrôler le marché mondial, nous devrons détourner la productivité de son but premier (libérer l’homme de la dureté du travail). Nous l’orienterons en fonction de la retourner contre l’homme, en asservissant ce dernier à notre système économique où il n’aura pas le choix de devenir notre esclave, et même un futur criminel.

12. – Tous ces transferts à l’étranger de nos Multinationales, et la réorganisation mondiale de l’économie auront pour but, entre autres, de faire grimper le chômage dans les pays occidentaux. Cette situation sera d’autant plus réalisable parce qu’au départ, nous aurons privilégié l’importation massive des produits de base à l’intérieur des États-Nations et, du même coup, nous aurons surchargé ces États par l’emploi exagéré de leur population à la production de services qu’ils ne pourront plus payer. Ces conditions extrêmes multiplieront par millions, les masses d’assistés sociaux de tous genres, d’illettrés, de sans abris.

13. – Par des pertes de millions d’emplois dans le secteur primaire ; à même les évasions déguisées de capitaux étrangers hors des États-Nations, il nous sera ainsi possible de mettre en danger de mort l’harmonie sociale par le spectre de la guerre civile.

14. – Ces manipulations internationales des gouvernements et des populations des États-Nations nous fourniront le prétexte d’utiliser notre F.M.I. pour pousser les gouvernements occidentaux à mettre en place des « Budgets d’Austérité » sous le couvercle de la réduction illusoire de leur « Dette Nationale » ; de la conservation hypothétique de leur « Cote de Crédit Internationale » ; de la préservation impossible de la « Paix Sociale ».

15. – Par ces « Mesures Budgétaires d’Urgence », nous briserons ainsi le financement des États-Nations pour tous leurs « Méga-Projets » qui représentent une menace directe à notre contrôle mondial de l’économie.

16. – D’ailleurs toutes ces mesures d’austérité nous permettront de briser les volontés nationales de structures modernes dans les domaines de l'Énergie, de l’Agriculture, du Transport et des Technologies nouvelles.

17. – Ces mêmes mesures nous offriront l’occasion rêvée d’instaurer notre « Idéologie de la Compétition Économique ». Celle-ci se traduira, à l’intérieur des États-Nations, par la réduction volontaire des salaires, les départs volontaires avec [Remises de Médailles pour Services rendus] ; ce qui nous ouvrira les portes à l’instauration partout de notre « Technologie de Contrôle ». Dans cette perspective, tous ces départs seront remplacés par des « Ordinateurs » à notre service.

18. – Ces transformations sociales nous aideront à changer en profondeur la main d’œuvre « Policière et Militaire » des États-Nations. Sous le prétexte des nécessités du moment, et sans éveiller de soupçons, nous nous débarrasserons une fois pour toutes de tous les individus ayant une « Conscience Judéo-Chrétienne ».

Cette « Restructuration des Corps Policiers et Militaires » nous permettra de limoger sans contestation, le personnel âgé, de même que tous les éléments ne véhiculant pas nos principes mondialistes. Ceux-ci seront remplacés par de jeunes recrues dépourvues de « Conscience et de Morale », et déjà toutes entraînées, et favorables à l’usage inconsidéré de notre « Technologie de Réseaux Électroniques ».

19. – Dans un même temps, et toujours sous le prétexte de « Coupures Budgétaires », nous veillerons au transfert des bases militaires des États-Nations vers l’Organisation des Nations-Unies.

20. – Dans cette perspective, nous travaillerons à la réorganisation du « Mandat International des Nations-Unies ». De « Force de Paix » sans pouvoir décisionnel, nous l’amènerons à devenir une « Force d’Intervention » où seront fondues, en un tout homogène, les forces militaires des États-Nations. Ceci nous permettra d’effectuer, sans combat, la démilitarisation de tous ces États de manière à ce qu’aucun d’entre eux, dans l’avenir, ne soient suffisamment puissants (indépendants) pour remettre en question notre « Pouvoir Mondial ».

21. – Pour accélérer ce processus de transfert, nous impliquerons la force actuelle des Nations-Unies dans des conflits impossibles à régler. De cette manière, et avec l’aide des Médias que nous contrôlons, nous montrerons aux populations l’impuissance et l’inutilité de cette « Force » dans sa forme actuelle. La frustration aidant, et poussée à son paroxysme au moment voulu, poussera les populations des ÉtatsNations à supplier les instances internationales de former une telle « Force Multi-Nationale » au plus tôt afin de protéger à tout prix la « Paix ».

22. – L’apparition prochaine de cette volonté mondiale d’une « Force Militaire Multi-Nationale » ira de pair avec l’instauration, à l’intérieur des États-Nations, d’une « Force d’Intervention Multi-Juridictionnelle ». Cette combinaison des « Effectifs Policiers et Militaires », créée à même le prétexte de l’augmentation de l’instabilité politique et sociale grandissante à l’intérieur de ces États croulant sous le fardeau des problèmes économiques, nous permettra de mieux contrôler les populations occidentales. Ici, l’utilisation à outrance de l’identification et du fichage électronique des individus nous fournira une surveillance complète de toutes les populations visées.

 23. – Cette réorganisation policière et militaire intérieure et extérieure des États-Nations permettra de faire converger le tout vers l’obligation de la mise en place d’un « Centre Mondial Judiciaire ». Ce « Centre » permettra aux différents « Corps Policiers des États-Nations » d’avoir rapidement accès à des « Banques de Données » sur tous les individus potentiellement dangereux pour nous sur la planète. L’image d’une meilleure efficacité judiciaire, et les liens de plus en plus étroits créés et entretenus avec le « Militaire », nous aideront à mettre en valeur la nécessité d’un « Tribunal International » doublé d’un « Système Judiciaire Mondial » ; l’un pour les affaires civiles et criminelles individuelles, et l’autre pour les Nations.

24. – Au cours de la croissance acceptée par tous de ces nouvelles nécessités, il sera impérieux pour nous de compléter au plus tôt le contrôle mondial des armes à feu à l’intérieur des territoires des États-Nations. Pour ce faire, nous accélérerons le « PLAN ALPHA » mis en œuvre au cours des années 60 par certains de nos prédécesseurs.

Ce « Plan » à l’origine visait deux objectifs qui sont demeurés les mêmes encore aujourd’hui :

Par l’intervention de « Tireurs fous », créer un climat d’insécurité dans les populations pour amener à un contrôle plus serré des armes à feu.

Orienter les actes de violence de manière à en faire porter la responsabilité par des extrémistes religieux, ou des personnes affiliées à des allégeances religieuses de tendance « Traditionnelle », ou encore, des personnes prétendant avoir des communications privilégiées avec Dieu.

Aujourd’hui, afin d’accélérer ce « Contrôle des Armes à Feu », nous pourrons utiliser la « Chute des Conditions Économiques » des États-Nations qui entraînera avec elle, une déstabilisation complète du Social ; donc augmentation de la violence. Je n’ai pas besoin de vous rappeler, ni de vous démontrer, Frères, les fondements de ce « Contrôle » des armes à feu.

Sans celui-ci, il deviendrait presque impossible pour nous de mettre à genoux les populations des États visés. Rappelez-vous avec quel succès nos prédécesseurs ont pu contrôler l’Allemagne de 1930 avec les nouvelles « Lois » mises en application à l’époque ; Lois d’ailleurs sur lesquelles sont fondées les Lois actuelles des États-Nations pour ce même contrôle.

25. – Les dernières « Étapes » se rapportent à la « PHASE OMEGA » expérimentée à partir des expérimentations effectuées au début des années 70. Elles renferment la mise en application, à l’échelle mondiale, des « Armes Electro-Magnétiques ».

Les « Changements de Climat » entraînant la destruction des récoltes ; la faillite dans ces conditions, des terres agricoles.

L’avenir du « Contrôle des Populations » de ces États passe obligatoirement par le contrôle absolu, par nous, de la production alimentaire à l’échelle mondiale, et par la prise de contrôle des principales « Routes Alimentaires » de la planète. Pour ce faire, il est nécessaire d’utiliser l’Electro-Magnétique, entre autre, pour déstabiliser les climats des États les plus productifs sur le plan agricole. Quant à l’empoisonnement de la nature, elle sera d’autant plus accélérée que l’augmentation des populations l’y poussera sans restriction. La dénaturation, par moyens artificiels, des produits alimentaires de consommation courante ; l’empoisonnement de la nature par une exploitation exagérée et inconsidérée, et l’utilisation massive de produits chimiques dans l’agriculture ; tout cela, Frères, mènera à la ruine assurée des industries alimentaires des États-Nations.

26. – L’utilisation de l’Electro-Magnétique pour provoquer des « Tremblements de Terre » dans les régions industrielles les plus importantes des États-Nations contribuera à accélérer la « Chute Économique » des États les plus menaçants pour nous ; de même qu’à amplifier l’obligation de la mise en place de notre Nouvel Ordre Mondial.

27. – Qui pourra nous soupçonner ? Qui pourra se douter des moyens utilisés ? Ceux qui oseront se dresser contre nous en diffusant de l’information quant à l’existence et au contenu de notre « Conspiration », deviendront suspects aux yeux des autorités de leur Nation et de leur population. Grâce à la désinformation, au mensonge, à l’hypocrisie et à l’individualisme que nous avons créé au sein des peuples des États-Nations, l’Homme est devenu un Ennemi pour l’Homme.

Ainsi ces « Individus Indépendants » qui sont des plus dangereux pour nous, justement à cause de leur « Liberté », seront considérés par leurs semblables comme étant des ennemis et non des libérateurs.

L’esclavage des enfants, le pillage des richesses du Tiers-Monde, le chômage, la propagande pour la libération de la drogue, l’abrutissement de la jeunesse des Nations, l’idéologie du « Respect de la Liberté Individuelle » diffusée au sein des Églises Judéo-Chrétiennes et à l’intérieur des États-Nations, l’obscurantisme considéré comme une base de la fierté, les conflits inter-ethniques, et notre dernière réalisation : « les Restrictions Budgétaires » ; tout cela nous permet enfin de voir l’accomplissement ancestral de notre « Rêve » : celui de l’instauration de notre « NOUVEL ORDRE MONDIAL ». 

Écrit Fin Juin 1985.

Ce qui intrigue dans ce texte ce n’est pas seulement son contexte, comme les relais pro-NWO et autres idiots utiles le font constamment remarquer en fustigeant un contexte paranoïde ou extrême-droitiste (ou extrême-gauchiste, voire extrême-centriste ou nihiliste, c’est selon), mais le fond du texte lui-même, les informations prédictives qu’il dévoile et qui se retrouvent pour une partie très importante vérifiés par les faits, plus de 30 ans après leur première publication…

Ce qui importe ici c’est de lire ce qui est écrit noir sur blanc, ce qui a été écrit il y a plus de 30 ans et qui se trouve recoupé par les faits eux-mêmes.

 

 Ci-après : Comment manipuler la populace, en 10 leçons…

 

Comment manipuler la populace, en 10 leçons

1/ La stratégie de la distraction

Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. « Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser ; de retour à la ferme avec les autres animaux. » Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles ».

2/ Créer des problèmes, puis offrir des solutions

Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple : laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.

3/ La stratégie de la dégradation

 Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans. C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (néolibéralisme) ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.

4/ La stratégie du différé

Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.

5/ S’adresser au public comme à des enfants en bas âge

La plupart des publicités destinées au grand public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas âge ou un handicapé mental. Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? « Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d’une personne de 12 ans ». Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles ».

6/ Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion

 Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements…

7/ Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise

Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. « La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures. Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles ».

8/ Encourager le public à se complaire dans la médiocrité

Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être stupide, vulgaire, et inculte…

9/ Remplacer la révolte par la culpabilité

Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution!…

10/ Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes

Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, sans compter les enquêtes de surveillance d'écoute et de renseignement.. le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.


Technologies de suivi vaccinal et biométrique que vous devriez connaître

 


2020-11-26 par Good Citizen




Il y a beaucoup de technologies de suivi vaccinal et biométrique qui sont révélées au public dernièrement et j’aimerais en passer en charge. Je vais discuter des technologies qui ont été proposées pour être utilisées, mais qui ne sont pas garanties d’être utilisées dans le rôle du premier vaccin SRAS-COV-2.

Tout d’abord, le Dr Carrie Madej a soulevé le drapeau au sujet de la technologie concernée introduite. Le Dr Madej est médecin en Géorgie. Voici une interview avec elle et l’UCK. Tv. Gardez à l’esprit, il ya beaucoup de médecins ayant des conversations sur ces technologies et ce n’est qu’un bon exemple que j’ai choisi d’utiliser.

Vaccins à ARNm

Les types de vaccins destinés au SRAS-COV-2 seront les vaccins contre l’ARNm. C’est-à-dire « Messenger RNA ».

Essentiellement, l’ARNm est une molécule utilisée par les cellules vivantes pour transformer les séquences génétiques de l’ADN en protéines qui sont les éléments constitutifs de toutes leurs structures fondamentales. Un segment de l’ADN est copié (« transcrit ») en un morceau d’ARNm, qui à son tour est « lu » par les outils de la cellule pour synthétiser les protéines. Dans le cas d’un vaccin contre l’ARNm, l’ARNm du virus est injecté dans le muscle, et nos propres cellules le lisent et synthétisent ensuite la protéine virale. Le système immunitaire réagit à ces protéines – qui ne peuvent pas à elles seuls causer la maladie – comme si elles avaient été transportées sur l’ensemble du virus. Cela génère une réponse protectrice qui, nous l’espérons, dure un certain temps.

https://www.theguardian.com/world/2020/nov/22/mrna-vaccines-covid-signal-new-era-disease-prevention-science

Selon M. Madej, aucune étude à long terme n’a été effectuée sur les vaccins contre l’ARNm. Et elle affirme que des études antérieures ont créé des anticorps, mais s’est terminée par de très mauvais effets secondaires ou la mort lorsqu’ils sont exposés au virus à nouveau.

Crispr ( Crispr )

Une technique de génie génétique rentable est Crispr. C’est une façon d’insérer des modifications d’ADN. Voici une vidéo sur la façon dont il peut être utilisé sur les humains pour de futures modifications génétiques.

https://siecledigital.fr/2016/12/20/crispr-technologie-changer-monde/

Immunité du fabricant contre la responsabilité

Gardez à l’esprit que pendant que vous prenez ces injections de modification génétique, les fabricants de vaccins ont l’immunité contre toute responsabilité pour les effets secondaires et les dommages causés par leurs vaccins. Vous avez peu de chances d’obtenir un sou d’eux en cas de blessure. Voir la Loi sur l’état de préparation du public et la préparation aux situations d’urgence (PREP).

Suivi biométrique

Qu’est-ce qui est inclus dans le vaccin? Suivi biométrique ! Afin de vous connecter davantage à la grille de contrôle de la population, il ya plus de technologies qui seront utilisés non seulement pour suivre votre dossier de vaccination, mais vous en tant qu’individu.

Micronèdès (Quantum Dot Tattoos)






Une autre méthode d’injection de vaccin est l’utilisation de micronédules. Il a été développé par le MIT et la Fondation Gates. Il vous marque également avec un invisible, téléphone intelligent "scannable" code à barres. Le nom du produit chimique qui est injecté dans la peau est Luciferase. Curieux nom pour une substance. Lucifer est le porteur de lumière. Cette substance s’allume avec un téléphone intelligent.

https://qactus.fr/2020/07/24/q-scoop-luciferase-le-vaccin-de-b-gates-devoile/

An Invisible Quantum Dot 'Tattoo' Could Be Used to ID Vaccinated Kids (sciencealert.com)

Bill Gates' Quantum Dot Digital Tattoo Implant to Track COVID-19 Vaccine Compliance | Saved Magazine

Hydrogel

Hydrogel est une agence américaine de défense avancée de projets de recherche (DARPA) et Profusa Injectable Biocensor (biocapteur injectable) qui est en mesure de signaler les données biométriques au nuage. Il se compose d’un capteur implanté, d’un lecteur placé à la surface de la peau et d’applications sur le téléphone pour communiquer avec l’appareil. Grâce à cette technologie, ils seront en mesure de détecter très rapidement les maladies pseudo-grippaux dans la population. Il a la capacité de lire divers signes vitaux de votre corps. Pensez à un Fitbit (ces montres inter-connectée pour sportifs et geeks) avec qui peut lire votre tension artérielle, la glycémie, la température, etc.

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https://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2020/09/15/profusa-injectable-biosensors.aspx?cid_source=dnl&cid_medium=email&cid_content=art1HL&cid=20200915Z1&mid=DM654189&rid=965195177

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Passeports d’immunité






Les pays du monde entier mettent en œuvre des passeports d’immunité pour permettre aux personnes « en bonne santé » de voyager. Pour les entreprises qui soutiennent l’application, ils vous permettront d’entrer si vous leur montrez que vous êtes en sécurité. Cela pourrait inclure les résultats des tests COVID ou de la vérification de la vaccination. Les compagnies aériennes commencent à sortir en indiquant que vous aurez besoin de votre vaccin pour voler. L’écriture est sur le mur, éventuellement ce seront des épiceries. Voici quelques exemples de passeports d’immunité :
COVI-PASS (en)
Passeport santé Irlande

Contactez Tracing Phone Apps

Si vous avez un téléphone intelligent, vous avez probablement remarqué que des applications de traçage de contacts ou de notification d’exposition ont été automatiquement installées sur votre téléphone avec une mise à jour. Cela s’est produit à la fois pour Android et Apple. Cela utilise les données de localisation GPS et Bluetooth pour communiquer avec les téléphones d’autres personnes. Si un utilisateur obtient COVID, alors cela informerait les utilisateurs qui étaient des contacts proches qu’ils ont besoin d’être testés ou isolés. Il en informerait probablement également les responsables de la santé.

Cela a d’innombrables préoccupations en matière de protection de la vie privée au sujet de qui vous êtes en contact étroit. Les représentants du gouvernement connaissent maintenant vos proches et où vous voyagez. Il peut punir les patriotes lors de l’assemblage ... Tu vois ce qui se passe ici ? Peut-être que ce téléphone en brique Nokia n’a pas l’air si mal à réactiver?

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Brevet microsoft 060606

Le 20/03/2020, Microsoft a déposé un brevet pour un appareil qui utilise l’activité de l’organisme pour extraire la crypto-monnaie. Le numéro de brevet est curieusement numéroté: 060606. Le système se connecterait via un bio-capteur sur l’humain (portable, peut-être en utilisant Hydrogel), qui communiquerait alors à un appareil utilisateur... comme un téléphone intelligent. Ensuite, le téléphone intelligent communique avec une tour cellulaire / wifi à un système de crypto-monnaie basé sur le cloud. Cela vous donnerait des crédits pour faire une tâche qui vous a été donnée.



CRYPTOCURRENCY SYSTEM USING BODY ACTIVITY DATA





Systèmes cellulaires

La technologie cellulaire joue un rôle important dans la façon dont vos informations se rendent dans le cloud. 4G, 5G, Wifi, ça n’a pas d’importance. Les technologies sans fil permettent d’obtenir vos données dans le cloud. C’est pourquoi vous voyez des déploiements 5G massifs dans le monde entier et des satellites Starlink monter. Votre prison numérique est déjà construite autour de vous. Il est juste mis à niveau vers une bande passante plus élevée. Il ya d’autres problèmes de santé avec la 5G que nous allons passer en compte dans un prochain article.

Digital Identity

Il ya un coup de pouce pour mettre en place une identité numérique pour vous en conjonction avec le vaccin. L’Alliance ID2020 en est un exemple. Les partenaires du projet sont Microsoft, Gavi, The Rockefeller Foundation, Mastercard. Il s’agit d’une entreprise énorme et importante pour tous les systèmes de contrôle de travailler ensemble. Une seule identité numérique globale serait utilisée comme connexion à tous les services pour vérifier que c’est vous. Considérez également qu’il peut être utilisé comme une méthode pour les partenariats des secteurs public et privé pour vous suivre entre tous les systèmes. Ces systèmes ont également la capacité d’intégrer des données biométriques, comme des empreintes digitales, des scans de visage, des informations d’identification professionnelles. Cela s’agit de nombreuses préoccupations en matière de protection de la vie privée. Cela consolide encore l’identité de chaque être humain en un seul système. Il faudrait tenir compte de nombreuses variables pour s’assurer qu’il est protégé contre les abus. Dites adieu à l’anonymat.

Panel sur l’identité numérique à l’Université Columbia

Rassembler tout cela

L’objectif final est d’avoir tout le monde un vaccin perpétuel pour toujours. Ensuite, la technologie complémentaire supplémentaire branchera les humains vers le réseau intelligent avec des capteurs qui communiquent avec les téléphones cellulaires qui communiquent ensuite avec les tours cellulaires, qui ensuite transmettre vos données à l’intelligence artificielle basée sur le cloud.

Ils déploient déjà ces systèmes aujourd’hui. Un exemple est la société TrustStamp en Afrique. Il s’agit d’un partenariat entre Mastercard et GAVI et financé par Bill Gates. Il s’agit d’une identité numérique, d’un dossier vaccinal, d’un passeport d’immunité et d’un système de monnaie numérique en un seul. C’est le Saint Graal du contrôle.

Il y a tellement de choses qu’on ne nous dit rien. Ils veulent dévoiler tant de technologies à la fois, le tout pour un virus avec un taux de mortalité très faible. Il semble être de la coercition pour nous amener à accepter le jab et la transition vers ce nouveau système bête.

C’est la fin du jeu est essentiellement un esclavage humain numérique. Lorsque vous n’êtes pas un citoyen conforme, les fonds seront déduits directement de votre portefeuille numérique. Ou votre portefeuille sera complètement éteint. Il s’agit d’une méthode de « connivement » pour nous garder en ligne.

Sources

https://www.healthgrades.com/physician/dr-carrie-madej-y7thx

https://patentscope.wipo.int/search/en/detail.jsf?docId=WO2020060606&tab=PCTBIBLIO

https://www.youtube.com/watch?v=g8lQmu8gaRE

https://www.usatoday.com/story/travel/airline-news/2020/11/23/vaccination-passport-qantas-looking-new-requirement-travelers/6402846002/

ORIGINE DE L’ARTICLE /  https://wakeupkodiak.com/new-vaccine-technologies-that-you-should-know-about

Publié dans COVID-19

 

ANALYSE DU MONDE CAPITALISTE - Réseau Voltaire 20 Octobre 2020

 

La chute du modèle occidental

Le modèle occidental, basé sur le capitalisme et la démocratie, ne parvient plus ni à défendre l’intérêt général, ni à garantir la souveraineté populaire. En accumulant ces deux échecs, il réunit les deux ingrédients d’une révolution généralisée.

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La Révolution française n’a pas été déclenchée par un abus royal. Les Français ne pensaient pas renverser la monarchie. Ce sont les Parisiens, convaincus que la capitale serait attaquée par des armées étrangères et que le roi ne la défendrait pas, qui s’emparèrent des armes qui étaient stockées à la prison de la Bastille.

La crise du capitalisme

Historiquement, la crise de l’Occident a débuté avec la crise du capitalisme américain, en 1929. À l’époque, les livres et journaux affirmaient majoritairement que la concentration du capital stérilisait l’économie en empêchant la concurrence dans de nombreux domaines. Alors que la famine sévissait aux USA, trois modèles politiques étaient proposés par la presse de l’époque pour sortir de cette impasse économique :
- le léninisme avec la nationalisation de tous les biens de production au risque d’anéantir toute initiative individuelle ;
- le fascisme de l’ancien représentant de Lénine en Italie, Benito Mussolini, qui prévoyait non pas de lutter contre la concentration du capital, mais de l’organiser au sein de corporations, au risque de faire perdre aux salariés toute possibilité de résister à des employeurs abusifs ;
- le progressisme de Franklin Roosevelt pour qui la technologie devait relancer l’économie et apporter la solution pour autant que l’on rétablirait la concurrence en démantelant les grandes sociétés (selon la doctrine de Simon Patten).

C’est Lénine lui-même qui constata l’échec de sa théorie économique en période de guerre civile. Il libéralisa alors le commerce extérieur et autorisa même quelques entreprises privées en Union soviétique (la Nouvelle politique économique - NEP). Le fascisme ne put se développer qu’au prix d’une terrible répression. Il fut balayé par la Seconde Guerre mondiale. Le progressisme resta la règle jusque dans les années 1980 où il fut contesté par la déréglementation de Ronald Reagan et Margaret Thatcher.

Ce quatrième modèle est désormais lui aussi remis en cause par la destruction des classes moyennes provoquée par la globalisation. Le président Bush père pensa qu’à la disparition de l’URSS, la recherche de la prospérité devait remplacer la rivalité militaire entre Washington et Moscou. Il autorisa quelques sociétés US à faire alliance avec le Parti communiste chinois et à délocaliser des usines sur la côte chinoise. Même si les travailleurs chinois n’étaient pas du tout formés, le coût de leur travail étant vingt fois inférieur en Chine à ce qu’il était aux USA, ces sociétés accumulèrent des profits colossaux qui leur permirent d’imposer une concentration dans certains secteurs bien plus forte qu’en 1929. En outre, elles tirèrent l’essentiel de leurs profits, non plus de la production de biens et de services, mais des revenus de leurs liquidités. Le capitalisme changea une nouvelle fois de nature. Il n’était plus productif, mais était devenu financier.

Les travailleurs chinois, s’étant progressivement formés, sont devenus aujourd’hui aussi coûteux que les travailleurs US, de sorte que les délocalisations affectent désormais leur propre pays au profit du Vietnam et de l’Inde cette fois. On est revenu au point de départ.

Les sociétés US qui ont entrepris de délocaliser leurs emplois en Chine et de financiariser leurs activités sont parvenues à amalgamer leur idéologie de la « globalisation économique » avec la mondialisation de l’usage de nouvelles techniques ; deux choses sans lien entre elles. En effet, si les nouvelles techniques peuvent être utilisées partout dans le monde, elles ne peuvent pas l’être en même temps tant elles requièrent de l’énergie et des matières premières.

Elles ont donc convaincu le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld de diviser le monde en deux : d’un côté une zone de consommation globale, autour des USA, de la Russie et de la Chine, de l’autre une zone de ressource chargée d’alimenter la première. Le Pentagone décida alors de détruire les structures étatiques du Moyen-Orient élargi afin que les populations de cette région ne puissent pas opposer de résistance à ce projet ; ce que George W. Bush appela la « guerre sans fin ». Effectivement des guerres éternelles débutèrent en Afghanistan, en Iraq, en Libye, en Syrie, au Yémen, chaque fois prétendument pour des raisons distinctes, mais toujours avec les mêmes agresseurs, les jihadistes.

En 2017, Donald Trump et Xi Jinping décidèrent au même moment de lutter contre ce phénomène, le premier par le nationalisme protectionniste et le second par le nationalisme économique. Cependant, la réforme fiscale proposée par Trump fut rejetée par le Congrès : le Border Ajustment Act prévoyait de libéraliser les exportations et de taxer à 20 % toutes les importations. De son côté, Xi Jinping créa lors du XIXème congrès du PCC un organe de contrôle de la conformité des objectifs des entreprises à ceux de la Nation, le Front uni. Un représentant de l’État fut introduit dans le conseil d’administration de chaque grande entreprise.

L’échec de Trump à faire passer son projet fiscal le conduisit à tenter d’en obtenir les mêmes avantages en déclarant une guerre des droits de douanes contre la seule Chine. Le PCC lui répondit en essayant à la fois de développer son marché intérieur et d’orienter sa surproduction vers l’Europe. Cette dernière en paya immédiatement le prix. Comme toujours lorsque les gouvernants ne sont pas attentifs à la détresse de leur peuple, le problème économique provoque une crise politique.

La crise de la démocratie

Contrairement à une idée reçue fondée sur l’apparence des choses, ce n’est pas le choix d’un nouveau régime politique, mais la défense des intérêts collectifs qui suscite des révolutions. Dans le monde moderne, il s’agit toujours d’un patriotisme. Dans tous les cas, ceux qui se révoltent pensent, à tort ou à raison, que leurs gouvernants sont au service d’intérêts étrangers, qu’ils ne sont plus des alliés, mais des ennemis.

L’ordre international qui s’est imposé après la Seconde Guerre mondiale était supposé servir l’intérêt général, que ce soit par une forme de démocratie ou par une forme de dictature du prolétariat. Cependant ce système ne pouvait pas fonctionner sur la durée dans des États non-souverains comme ceux de l’Otan ou du Pacte de Varsovie. À un moment ou à un autre, les dirigeants de ces États ont été amenés à trahir leur peuple et à servir leur suzerain, les USA ou l’URSS. Ce système a été accepté tout le temps durant lequel, à tort ou à raison, chacun le pensait indispensable pour vivre en paix. Cette raison n’existe plus aujourd’hui, mais l’Otan est toujours là, désormais sans légitimité.

L’Otan, sorte de Légion étrangère des États-Unis et du Royaume-Uni, a pensé et créé ce qu’est devenu l’Union européenne. Au départ, il s’agissait d’ancrer l’Europe de l’Ouest dans le camp occidental. Aujourd’hui, de par les traités, l’Union européenne subordonne sa Défense à l’Otan. Dans la pratique, pour les peuples de l’UE, l’Alliance de l’Atlantique-Nord est le volet militaire d’un ensemble dont l’UE est le volet civil. L’Otan impose ses normes, fait construire les infrastructures dont elle a besoin, et se fait financer via des institutions opaques. Tout ceci est masqué aux yeux de ses habitants à qui l’on explique, par exemple, que le Parlement européen vote les normes, alors qu’il ne fait que ratifier les textes de l’Otan présentés par la Commission.

Il ne fait aucun doute que, bien qu’ils la subissent sans broncher, les citoyens n’acceptent pas cette organisation : ils n’ont cessé de s’opposer à l’idée d’une Constitution européenne.

Parallèlement, le concept de démocratie a été profondément transformé. Il ne s’agit plus de garantir le « pouvoir du peuple », mais de se soumettre à l’« état de droit » ; deux concepts inconciliables. Désormais des magistrats décident à la place du peuple quels justiciables auront le droit de le représenter et lesquels en seront privés. Ce transfert de souveraineté, des peuples aux systèmes judiciaires, est indispensable pour maintenir la domination effective des Anglo-Saxons sur les membres de l’UE. D’où l’acharnement de Bruxelles à imposer « l’état de droit » à la Pologne et à la Hongrie.

La révolte

L’effondrement du niveau de vie des petites gens aux USA sous Barack Obama a suscité l’élection de Donald Trump. L’accélération des délocalisations d’Europe en conséquence de la guerre douanière entre les USA et la Chine a provoqué le mouvement des Gilets jaunes en France.

Cette révolte populaire se matérialisa dans les premières semaines de ce mouvement (avec la revendication du Référendum d’initiative citoyenne —RIC— d’Étienne Chouard). Elle s’inscrit dans la ligne de la candidature de l’humoriste Coluche à la présidence française, en 1981 (« Tous ensemble pour leur foutre au cul ») et des manifestations de l’humoriste italien Beppe Grillo en 2007 (« Vaffanculo », c’est-à-dire Qu’ils aillent se faire foutre). Progressivement, la dérision s’accompagne d’une colère toujours plus forte et plus obscène.

Il faut bien comprendre que la question du refus de la domination militaire US a précédé celle de la globalisation économique, mais que c’est cette dernière qui a ouvert la révolte. De même, il faut distinguer les revendications patriotiques des Gilets jaunes, drapeau national en tête, de celle des trotskystes qui ont rapidement pris le contrôle de leur mouvement et l’ont détourné en attaquant des symboles de la Nation, en vandalisant l’Arc de triomphe et la statue de la Marseillaise.

En résumé, la révolte actuelle est à la fois le fruit de trois-quarts de siècle de domination anglo-saxonne sur les membres de l’Union européenne et de l’hyper-concentration du capital globalisé. En s’additionnant, ces deux crises forment une bombe à retardement qui, si elle n’est pas désamorcée, explosera au détriment de tous. Cette révolte est parvenue maintenant à une véritable conscience du problème, mais n’a pas encore la maturité nécessaire pour ne pas être subvertie par les gouvernants européens.

En ne cherchant même pas à régler les problèmes posés, ceux-ci espèrent jouir de leurs privilèges le plus longtemps possible, sans avoir à prendre leurs responsabilités. Ce faisant, ils n’ont d’autre choix que de pousser à la guerre ou de risquer d’être renversés avec une grande violence.

La « guerre des civilisations » va t-elle avoir lieu sur le sol Français ?

 Par Guillaume Borel

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La « guerre des civilisations » va t-elle avoir lieu sur sol français ?

Par Guillaume Borel 

22 octobre 2022

Source: Arrêt sur info

La décapitation du professeur d’Histoire-Géographie Samuel Paty a provoqué dans la société française un véritable état de choc, une stupeur sans précédent. Que l’on décapite un enseignant pour avoir « fait son travail », a été reçu par les français comme un véritable acte de guerre.

A la différence des attentats contre le journal satirique « Charlie Hebdo » dont la ligne éditoriale ne faisait pas toujours l’unanimité dans la société française, le rôle des enseignants ne fait pas débat.

Malgré des critiques récurrentes concernant le « temps de travail » des enseignants ou le niveau scolaire des élèves, l’éducation nationale demeure le service public qui bénéficie, avec le service hospitalier, d’un immense degré d’adhésion de la population. Les valeurs qu’il est chargé de défendre et d’enseigner, comme la laïcité ou l’esprit critique, sont partie intégrante de « l’identité nationale ».

La colère est palpable, le sentiment de révolte, la volonté de punir tous ceux qui, de près ou de loin, ont pu participer ou encourager la décapitation d’un professeur, est urgente et massive, elle ne fait pas débat. A bien des égards, cet attentat est l’attentat de trop, celui qui emporte tout sens commun et toute capacité de mesure rationnelle. Cet attentat, parce qu’il touche à une figure de l’identité nationale, le professeur chargé de l’éducation « morale et civique » de nos enfants, a réactivé les réflexes anthropologiques de l’identité de groupe. Maintenant, c’est « eux » contre « nous ».

La radicalisation de la société française

Ceux qui ont suivi les JT des chaînes d’information françaises ces derniers jours ont été saisis par une forme de stupeur. Le discours auparavant porté par le Rassemblement National, et contre lequel tous les responsables politiques avaient appelé à « faire barrage » lors de la dernière élection présidentielle, au nom des « valeurs de la république », est relayé partout, en continu.

Les quelques rares contradicteurs sont immédiatement rappelés à l’ordre et qualifiés « d’islamo-gauchistes », ils ont le choix de faire acte de repentance ou d’aller se terrer loin des projecteurs médiatiques.

Le discours de la « guerre des civilisations » importée « chez nous » par une « cinquième colonne » et vulgarisé par l’extrême droite française, s’est mis à tourner en boucle non seulement dans tous les médias, mais aussi dans toute la classe politique, et jusqu’au plus haut niveau de l’Etat. L’ennemi dénoncé, à la fois hyper actif et insidieux, présent « partout » mais difficilement reconnaissable, c’est bien évidemment « l’islamisme radical ». Il prospère dans les banlieues françaises, chez les « islamo-gauchistes » du parti la France Insoumise ou chez les membres du syndicat étudiant UNEF, mais aussi sur les réseaux sociaux.

C’est bien dans une logique de « guerre » que la société française est entrée, elle est l’aboutissement des injonctions à « traquer ceux qui ne sont pas Charlie » proférées lors des attentats de  janvier 2015 par certains journalistes et responsables politiques.

Cette entrée en guerre de la société française, des médias et des responsables politiques, se traduit d’ores et déjà par une surenchère martiale et une radicalisation des discours. La rhétorique du Rassemblement National est aujourd’hui devenue celle de La République En Marche, des Républicains, ou même du Parti Socialiste.

La « guerre des civilisations » ?

L’ennemi unanimement désigné c’est « l’Islam radical ». Cette expression à la fois floue et inconsistante, ne permet toutefois ni de désigner un ennemi précis, ni de nommer correctement la menace. La frontière entre un Islam non radical et un Islam « radical » est indéfinie, cette « radicalisation » soudaine et impromptue, rend par définition tout pratiquant suspect. Car si l’Islam peut du jour au lendemain « se radicaliser », qui surveiller, qui punir, qui tenir pour responsable si ce n’est l’ensemble des musulmans et l’Islam lui-même en tant que religion ?

C’est précisément l’avènement doctrinaire de l’islamophobie, l’adoubement des thèses conspirationnistes de l’extrême droite et de sa relecture du « choc des civilisations ».

En l’absence d’ennemi clairement défini, la répression va prendre des formes totalitaires, c’est à dire qu’elle va cibler massivement tous les signes visibles de l’Islam et toute forme de liberté d’expression potentiellement déviante des « valeurs de la république ».

Islam « radical » ou salafisme ?

Pourtant, les ennemis de la France et des « valeurs de la république » sont généralement bien connus des services de renseignement et leur appartenance doctrinale clairement identifiée.

Les frères Kouachi, qui ont perpétré les attentats contre Charlie Hebdo en 2015, appartenaient tous les deux à la mouvance salafiste. Saïd Kouachi s’était par exemple rendu au Yemen en 2011 pour s’entraîner avec un groupe local d’Al-Qaïda.

Les attaques coordonnées de novembre 2015, notamment contre le Bataclan, ont été commanditées et revendiquées par l’organisation salafiste Etat Islamique (Daesh).

Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, l’auteur de l’attentat de Nice en juillet 2016 s’est «radicalisé » au contact de sources salafistes.

Il en va de même pour Mickael Harpon, l’auteur de l’attaque au couteau à la préfecture de police de Paris en octobre 2019. Ce dernier s’était soudainement « radicalisé » au contact du salafisme.

La recrudescence d’attaques par des auteurs isolés, et avec des moyens de « fortune », renvoie par ailleurs aux consignes opératoires émises par l’État Islamique, notamment dans un message de 2014 : « Si vous ne pouvez pas trouver d’engin explosif ou de munition, alors isolez l’Américain infidèle, le Français infidèle, ou n’importe lequel de ses alliés. Écrasez-lui la tête à coups de pierre, tuez-le avec un couteau, renversez-le avec votre voiture […] »

Malgré le lien avéré avec le salafisme et l’État Islamique, c’est pourtant le terme d’Islam « radical » qui est utilisé par les médias et les responsables politiques français, au prix de la stigmatisation de l’ensemble des musulmans de France.

Le Qatar et l’Arabie Saoudite, ces étranges « alliés » de la France

L’explication tient aux liens privilégiés noués entre le Qatar, puis l’Arabie Saoudite, avec la classe politique française. Ces monarchies sont à la fois les deux principaux soutiens et sponsors du salafisme à l’international mais aussi des «amis » de la France.

L’ancien président Nicolas Sarkozy a par exemple favorisé les investissements qataris en France en faisant adopter par le parlement une convention fiscale en 2009 qui exonère les qataris de l’impôt sur les plus-values immobilières. Il a également participé en 2012 à la création d’un fonds d’investissement qatari, Columbia, avant que le projet ne soit finalement abandonné suite à  la mise en examen de l’un de ses proches dans l’affaire Bettencourt…

Son successeur, François Hollande, se rapprochera lui de l’Arabie Saoudite. Le journal Les Echos, titre ainsi en juin 2016 : Hollande, l’allié indéfectible des saoudiens. A la clef, et en échange du soutien diplomatique de Paris contre l’Iran, de juteux contrats d’armements. La France devient le 3ème fournisseur d’armes du pays et le roi Abdallah s’engage à investir 15 milliards d’euros en France. En 2015, l’Arabie Saoudite devient le premier client de la France avec 12 milliards d’euros de commandes. En 2016, en échange des services rendus, le prince héritier Mohammed ben Nayef, également ministre de l’Intérieur, est décoré de la légion d’honneur par François Hollande à l’Elysée…

Au niveau géopolitique, la France a également soutenu les rébellions salafistes en Libye et en Syrie, comme je l’ai montré dans de précédents articles, y compris des groupes armés se réclamant du Front Al-Nosra.

Le rôle des monarchies du Golfe comme le Qatar ou l’Arabie Saoudite dans l’émergence et le support opérationnel à l’État Islamique et au Front Al-Nosra est lui, plus largement documenté.

L’écrivain  algérien Kamel Daoud publiait ainsi une tribune dans le New York Times suite aux attentats de janvier 2015 dans laquelle il affirmait : « L’Arabie saoudite est un Daesh qui a réussi. »

Le président français Emmanuel Macron pointait lui-même le rôle des deux monarchies dans le financement du terrorisme dans une interview de 2017 au journal Le Point, sans que ces accusations ne soient malheureusement suivis d’actes concrets.

Le salafisme, une idéologie sectaire qui propage la haine

L’ennemi de l’occident, de la France, mais aussi des musulmans, partout où il se répand, c’est le salafisme. Il ne s’agit pas « d’islam radical », mais d’une idéologie opérationnelle promue et déployée originellement depuis l’Arabie Saoudite et le Qatar et qui s’est répandue à travers un vaste réseau de groupuscules terroristes comme l’Etat islamique ou Al-Qaïda, mais dont les ramifications sont maintenant mondiales.

Selon Kamel Daoud, le wahhabisme, l’autre nom du salafisme en Arabie Saoudite, «a l’idée de restaurer un califat fantasmé autour d’un désert, un livre sacré et deux lieux saints, la Mecque et Médine. C’est un puritanisme né dans le massacre et le sang, qui se traduit aujourd’hui par un lien surréaliste à la femme, une interdiction pour les non-musulmans d’entrer dans le territoire sacré, une loi religieuse rigoriste, et puis aussi un rapport maladif à l’image et à la représentation et donc l’art, ainsi que le corps, la nudité et la liberté.»

Toujours selon Kamel Daoud, les générations de djihadistes actuelles « ont été biberonnées par la Fatwa Valley, espèce de Vatican islamiste avec une vaste industrie produisant théologiens, lois religieuses, livres et politiques éditoriales et médiatiques agressives. »

Le salafisme prospère ainsi comme une véritable industrie du djihad, il utilise tous les outils médiatiques modernes pour endoctriner et propager sa culture de la haine.

La rapidité de certaines conversions associées à des passages à l’acte tout aussi rapides renvoie bien davantage au phénomène sectaire qu’à la religion. C’est particulièrement frappant lorsqu’on regarde le parcours de certains auteurs d’actes terroristes comme  Mickael Harpon ou Mohamed Lahouaiej-Bouhlel qui se sont « radicalisés » en quelques semaines ou quelques mois avant de passer à l’acte. Les signes de la « radicalisation » elle-même, notamment la rupture des attaches sociales antérieures, renvoie au phénomène sectaire.

Ainsi la première mesure de salubrité publique doit être, en France comme dans de nombreux autres pays, de nommer précisément l’ennemi, le salafisme, et de le qualifier comme phénomène sectaire.

Comme le définit le site gouvernemental de la Mission Interministérielle de Vigilance et de Lutte contre les dérives sectaires (MIVILUDES), la dérive sectaire est un « dévoiement de la liberté de pensée, d’opinion ou de religion qui porte atteinte à l’ordre public, aux lois ou aux règlements, aux droits fondamentaux, à la sécurité ou à l’intégrité des personnes. Elle se caractérise par la mise en œuvre, par un groupe organisé ou par un individu isolé, quelle que soit sa nature ou son activité, de pressions ou de techniques ayant pour but de créer, de maintenir ou d’exploiter chez une personne un état de sujétion psychologique ou physique, la privant d’une partie de son libre arbitre, avec des conséquences dommageables pour cette personne, son entourage ou pour la société. »

Tous ces éléments se retrouvent expressément dans la doctrine salafiste; c’est bien elle qu’il faut combattre, pas l’Islam.

Guillaume Borel

Guillaume Borel est un enseignant français, un brillant analyste politique bien connu des lecteurs d’Arrêt sur info. Il est l’auteur notamment de l’ouvrage Le travail, histoire d’une idéologie – Éditions Utopia: 2015. Il s’intéresse à la géopolitique, aux questions de macro-économie, de propagande et de manipulations médiatiques.

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