Chronique d'une mort annoncée.... suite


La destruction des Etats Nations sonnera le glas de l’Empire Rothschild !
Dans toute société, le système économique peut être divisé en deux : système producteur et système financier. C’est l’exemple de la parabole de l’île des naufragés de Louis Even : d’un côté, cinq naufragés sur une île, qui produisent différentes choses nécessaires à la vie ; et de l’autre un banquier qui prête de l’argent. Pour simplifier disons qu’il y a un seul emprunteur au nom de la communauté. Nous l’appellerons Paul. Paul décide, au nom de la communauté d’emprunter un montant suffisant pour faire marcher l’économie de l’île, disons 100$, à 6% d’intérêts. A la fin de l’année Paul doit rembourser l’intérêt de 6% à la banque. 100$ moins 6$ = 94$. Il reste donc 94$ en circulation sur l’île. Mais la dette de 100$ demeure. Le prêt de 100$ est donc renouvelé et 6$ doivent être payés à la fin de la seconde année. 94$ - 6$, il reste 88$ en circulation sur l’île. Si Paul continue ainsi à payer 6$ d’intérêts chaque année, au bout de 17 ans, il ne restera plus d’argent sur l’île. Mais la dette de 100$ demeurera et le banquier sera alors autorisé à saisir toutes les propriétés des habitants de l’île.
 Cette petite parabole de Louis Even illustre parfaitement ce qui se passe à l’échelle planétaire aujourd’hui entre une classe transnationale de financiers créant de l’argent ex-nihilo et un système producteur, des Etats qui tôt ou tard finiront par appartenir corps et biens aux financiers. Ce modèle financier a clairement été conçu pour endetter tous les Etats, les mettant dans l’impossibilité de rembourser leurs dettes. Pour rembourser les intérêts de la dette, la variable d’ajustement consiste à imposer à tous les citoyens, plus de cotisations, plus de taxes avec une couverture sociale réduite comme une peau de chagrin. In fine, il faudra travailler toujours plus pour systématiquement gagner moins, cul de sac inhumain et dévastateur.
 Le seuil de rupture a été franchi pour 5 milliards d’individus sur Terre et s’étend comme une traînée de poudre à toute la société occidentale. Aux USA le Center for Economic Policy Research a établi que 100 millions d’américains (soit un sur trois) pris dans la spirale infernale du surendettement, ne peuvent boucler leur fin de mois. Pour 2011, on estime que 40 à 50 millions de citoyens américains devront avoir recours aux bons alimentaires afin de pouvoir nourrir leur famille faute de mieux. Comble de cynisme, ces bons alimentaires sont émis par des banques, dont la JP Morgan, qui les vendent avec intérêts bien sûr, au gouvernement US.
 Il faut donc être aveugle ou complice pour ne pas voir qu’une logique implacable de destruction des états nations et du tissu sociale humain terrestre est à l’œuvre avec la mondialisation. L’objectif de cette opération mondiale est simple : une coordination de Cartels transnationaux entendent saisir toutes les ressources et richesses et prendre le pouvoir sur les âmes et les corps. C’est le jeu que l’on a coutume d’appeler : « Nouvel Ordre Mondial ».
 Cependant ce jeu a deux versants. D’un côté, il est judicieusement et méticuleusement agencé pour aboutir au pouvoir par spoliation globale des richesses planétaires. D’un autre côté, ses mécanismes sont si inhumains, destructeurs et flagrants pour tout un chacun, que la conscience citoyenne s’en trouve éveillée par la dureté même du quotidien. Des politiques en viennent à enfin soulever le cœur du problème, à savoir : la souveraineté monétaire et l’inanité de l’usure, Dupont Aignan, Asselinau, Mélenchon, Marine Le Pen, en France, Ron Paul aux USA et nombre de politiciens européens, asiatiques, sud américains, etc. Ces politiques sont fortement combattus par l’oligarchie des Cartels, qui tente de les marginaliser en leur interdisant toute tribune. Mais la chose ne sera pas si aisée à faire car c’est une lame de fonds citoyenne qui informe et soutient ces politiciens, et ce n’est en rien leur idéologie de base qui les amène sur le devant de la scène. C’est un cri citoyen de survie, transcendant toute idéologie qui les entraîne. Ils ont enfin compris et c’est source d’espoir.
 Une dictature impose la médiocrité par la soumission ; c’est une coquille dorée vide qui, tôt ou tard, implose. Tel est le Nouvel Ordre Mondial.
 Un pouvoir visant l’intérêt commun, soutenu par un peuple, suscite l’excellence, le dépassement de soi, l’innovation, le respect mutuel, la libération des plus belles intelligences humaines. En résumé, il n’y a dans notre monde que deux partis politiques :
 1°) celui de la souveraineté monétaire usurpée, cupide marché du désespoir usuraire.
 2°) celui de la survie qui dénonce l’usure et la spoliation planétaire programmée.

 Les idéologies réductrices n’ont plus aucun impact, chaque politicien doit choisir son camp. Il n’y a pas de neutralité possible dans ce cas de figure. Soit vous êtes des promoteurs d’une authentique civilisation, soit vous voulez soumettre par la force et la destruction les peuples, pour un pouvoir gigantesque dont les réussites potentielles sont statistiquement proches de zéro ! La souveraineté monétaire, alimentaire, énergétique, l’interdiction de l’usure sont les seuls garants d’une civilisation pérenne et sereine. Il est impossible aujourd’hui d’attenter un procès à la JP Morgan, à la Rothschild, aux responsables du FMI, de la Banque Mondiale et autres institutions dévastatrices pour Crimes contre la civilisation. Ceux qui ont volé la souveraineté monétaire aux peuples sont au-dessus des lois. « Donnez-moi le contrôle sur la monnaie d’une nation et je me moque de ceux qui font ses lois » Mayer Amshel Rothschild (1743-1812). A ce jour, les dettes souveraines des Etats à l’échelle planétaire sont entre les mains d’une dizaine de personnes, pas plus. Ces quelques personnes ont le pouvoir de faire sauter tous les Etats nations, elles peuvent créer artificiellement des pénuries alimentaires dévastatrices pour des milliards d’individus. Si elles usent du pouvoir de nuisance quasi total dont elles jouissent, que leur restera-t-il sinon un empire de sable à gérer ? Les Rothschild rêvent-ils de finir en guenilles au milieu de ruines s’autoproclamant Princes d’un cimetière planétaire ?
 Ne serait-ce pas une insulte à leur intelligence, une insulte à leur volonté de puissance, le déni même de ce pourquoi ils usurpèrent la souveraineté monétaire des peuples ?
 En fait, les 10 mains qui possèdent l’ensemble des dettes souveraines des Etats, n’ont rien de viable pour remplacer les Etats Nations. Les structures internationales (FMI, ONU, OMS, etc.) tournent à vide. La modélisation régionale du monde « le Village Global » est un échec cuisant (échec en Irak, Iran, Syrie, Liban, Afghanistan, Amérique du Sud, bientôt en Europe, etc.) Les cartels monopolistiques sont incapables de remplacer des services publics durablement à l’échelle planétaire. Les structures militaires privées de maintien de l’ordre du NOM sont incertaines, aléatoires, car elles dépendent de marchés erratiques incontrôlables dans de telles conditions. Toutes les technologies développées pour le NOM sont d’une extrême fragilité électronique. La non prise en compte de l’influence des modifications brutales des champs magnétiques terrestres, illustre l’inanité et la non fiabilité de telles technologies pourtant essentielles à la réussite du plan. Les ressources humaines engagées sur le plan social, politique, industriel, médiatique, faute de liberté dans le plan, n’ont ni imagination, ni pensée systémique nécessaire aux prises de décision en cas d’échec d’une partie du plan. En résumé, le mode pyramidal de pouvoir ne mène nulle part car il vitrifie toute initiative intelligente individuelle.
 Le Nouvel Ordre Mondial est une usine à gaz qui fuit de toute part, et sa maintenance est assurée au lance-flamme !
 Pour ces raisons, nous faisons ici solennellement un pari sur le réalisme et l’intelligence des 10 mains qui possèdent l’ensemble des dettes souveraines des Etats. Dans un très proche avenir, elles céderont à nouveau le pouvoir de battre monnaie aux peuples, renonçant à la destruction des Etats Nations. Ce n’est pas par bonté d’âme qu’elles accepteront de faire cela. Ce sera pour maintenir partiellement leur position dominante, sans risquer de tout perdre dans le déclenchement d’un chaos totalement incontrôlable. Ces 10 mains en guenilles finissant sur le sable, serait un bien piètre résultat, au regard « des sacrifices » qu’elles consentirent à faire depuis au moins 10 générations. Tout ça pour ça ?!
Frédéric Morin / www.morphéus.fr

Bloom Box, l'énigmatique pile à combustible, chez vous dans dix ans ?


Par Jean-Luc Goudet, Futura-Sciences
Elle a été choisie par eBay, Fedex et Google. L'entreprise qui l'a créée, Bloom Energy, vient d'en montrer un modèle réduit, plus petit qu'un carton à chaussures. Alimentée avec du méthane ou un carburant quelconque, elle pourrait fournir l'électricité d'une maison. Mais dans une dizaine d'années seulement et, d'ailleurs, personne ne sait vraiment comment elle fonctionne. Réponse ce soir !
Le reportage du magazine 60 Minutes de CBS fait un tabac sur le Web et, depuis, le buzz s'amplifie. On y voit K. R. Sridhar présenter à la journaliste sa désormais célèbre Bloom Box, un cube noir d'une quinzaine de centimètres de côté. L'homme est le patron de Bloom Energy, une entreprise de la Silicon Valley qui existe depuis huit ans mais se paie le luxe de ne révéler à peu près rien de ses activités. Son site Web se réduit à une page et, jusqu'à aujourd'hui (24 février), montre un compte à rebours se terminant ce soir, à peu près à 19 h, en heure française.
La Bloom Box est une pile à combustible. Si on suit les explications de K. R. Sridhar données au magazine de CBS, l'élément de base est une plaque de céramique (« faite à partir de sable »), de quelques millimètres d'épaisseur, recouverte sur les deux faces par une couche d'un enduit coloré, vert d'un côté et noire de l'autre, dont la composition est secrète.
Des plaques en train d'être empilées pour former l'unité de base de la Bloom Box. Les plaques sont séparées les unes des autres par un joint métallique. Un empilement de ces éléments forme l'unité de base d'une Bloom Box. Alimentée par un carburant quelconque capable de fournir de l'hydrogène sur l'une des faces de chaque plaque (côté vert) et par de l'oxygène (côté noir), elle produit de l'électricité et de l'eau. Il s'agit donc d'une pile à combustible, plus précisément à électrolyte solide (SOFC, solid oxide fuel cell). Par rapport aux piles déjà existantes, la fabrication serait peu coûteuse, le rendement excellent et la production fiable dans le temps.
Un mystère entretenu
Les chiffres manquent cruellement pour se faire une idée des performances et donc de l'intérêt de l'engin. K. R. Sridhar affirme qu'une plaque à trois couches produit « suffisamment d'électricité pour alimenter une ampoule électrique » et que l'unité de base d'une Bloom Box (le cube noir) contenant 64 plaques serait capable de fournir l'énergie à un bar-restaurant (un « coffe shop »).
Intox ou innovation ? K. R. Sridhar n'est pas un inconnu ni un inventeur farfelu. Son projet s'appuie sur une étude qu'il a lui-même conduite pour la Nasa pour mettre au point un appareil capable de produire de l'oxygène aux astronautes d'une mission longue et de l'hydrogène destiné à leurs véhicules d'exploration, par exemple sur Mars. Après l'abandon de ce programme, Sridhar a compris que son système pouvait fort bien fonctionner dans l'autre sens pour devenir une pile à combustible.
K. R. Sridhar montre l'intérieur d'une Bloom Box, du type de celles installées chez eBay et Google. Derrière sa main droite, la cuve dans laquelle se trouvent les unités de base et où circule le carburant.
La jeune entreprise a su convaincre plusieurs investisseurs, qui ont injecté 400 millions de dollars. L'un d'eux, John Doerr, du cabinet de capital risque Kleiner Perkins, est célèbre pour avoir aider à la création d'Amazon, de Google et de Netscape. La Bloom Box existe déjà, en grand modèle, et peut s'obtenir moyennant 700.000 à 800.000 dollars (520.000 à 600.000 euros environ). L'engin est volumineux et l'intérieur doit être chauffé à mille degrés. Rien n'est dit sur le coût final de l'électricité obtenu. Mais Google et eBay s'en sont déjà équipés. Le second affirme que ses cinq installations, connectées il y a neuf mois, lui ont déjà fait économiser 100.000 dollars d'électricité.
K. R. Sridhar le promet : dans cinq à dix ans, une petite Bloom Box ne coûtera que 3.000 dollars (environ 2.200 euros). Une fois branchée à l'alimentation de la maison, adieu les factures EDF... Il ne reste plus qu'à voir vraiment la machine à l'œuvre et à en consulter les spécifications techniques complètes.

Nota : pour les curieux de nature, lire aussi l'excellent n° 74 de la revue Nexus (Mai-Juin 2011) 

Le lobby du gaz de schiste passe à l'offensive au Québec


Par Maryne Cervero | Etudiante en journalisme | 14/08/2011 | 11H06 lisible intégralement sur Rue89.fr

Alors que leurs voisins américains sont plongés dans le débat sur l'exploitation des gaz de schiste depuis plusieurs années, les citoyens canadiens francophones n'ont commencé à se préoccuper du sujet que récemment.
Les compagnies pétrolières et gazières canadiennes, en revanche, s'étaient déjà intéressées à la fracturation hydraulique depuis un certain temps : à en croire le journal francophone Le Devoir, le groupement d'entreprises APGQ (Association pétrolière et gazière du Québec) avait approché, dès juin 2009, un certain nombre de lobbyistes susceptibles de défendre leurs projets d'exploitation du gaz de schiste sur le territoire.
L'ouverture d'un forum de questions-réponses fait polémique
Depuis le mois de juin, un groupement similaire, l'ACPP (Association canadienne des producteurs pétroliers), a fait appel aux services de l'agence de relations publiques Parta Dialogue pour mettre en place un forum destiné à recueillir les questions des internautes sur la fracturation hydraulique.
Le principe de fonctionnement du forum est exposé sur le site :
« ForumSchiste.com est un espace de débat sur l'exploitation des gaz de schiste, conçu et géré par Parta Dialogue avec le soutien financier de l'Association canadienne des producteurs pétroliers.
En créant un espace de communication directe, démocratique et sans censure tel que le permettent les technologies du Web 2.0 et des médias sociaux, Parta Dialogue souhaite rendre possible une interaction et des échanges riches entre tous les participants du débat actuel, qu'il s'agisse de citoyens soucieux de leur environnement, de militants, d'experts scientifiques ou de producteurs industriels. »
Des intentions bien nobles de prime abord, qui ont cependant soulevé la méfiance des médias québécois et, par ricochet, des internautes canadiens.

L'emprise du lobby du gaz de schiste au Canada
A l'origine de cette méfiance : un lobby du gaz de schiste très dense et élaboré au Canada, fort d'une large cinquantaine de noms, parmi lesquels des patrons de sociétés pétrolières, des hommes politiques et même un ancien président de club de hockey (Pierre Boivin).
Tous les moyens sont bons pour vanter le gaz de schiste auprès du peuple canadien, comme le montre l'exemple de la société Talisman Energy, qui a publié en juin dernier un livre de coloriage pour enfants sur le thème de la fracturation hydraulique.
Une démonstration d'audace peut-être destinée à faire oublier que cinq mois auparavant, un rapport du ministère des Ressources naturelles du Québec démontrait que tous les puits de gaz exploités dans la province par Talisman Energy présentaient des fuites.
« Les intentions du forum ne sont pas claires »
Mais le Collectif scientifique sur la question du gaz de schiste, constitué de personnes provenant d'institutions d'enseignement supérieur et de recherche, s'interroge sur les intentions réelles du forum et de la page Facebook associée.

 Marc Durand, docteur-ingénieur en géologie appliquée et membre du collectif, rappelle que des informations présentes sur le site officiel de l'agence Parta Dialogue et développant son savoir-faire en termes de communication, ont de quoi éveiller les soupçons. Le site indique en effet :
« Afin de vous aider à garder une longueur d'avance sur une crise potentielle, nous avons développé une solution de surveillance des conversations sur Internet.
Nous identifions les conversations négatives (zones d'hostilité) qui risquent d'avoir un impact sur votre image de marque et proposons un plan d'action afin d'orienter les débats dans un sens positif. »
Selon le docteur-ingénieur, le forum est un moyen de récolter du contenu qui permettra aux entreprises d'avoir une longueur d'avance et des arguments affûtés lorsqu'il faudra se défendre face à l'opinion publique. Mais aussi une façon de glaner des statistiques sur les profils des internautes pour bâtir un solide fichier marketing.
De son côté, Greenpeace Canada a un avis plus modéré sur l'agence. D'après l'organisation environnementaliste, les racines de la méfiance sont plus profondes :
 « Nous pensons que la compagnie de communication Parta Dialogue qui gère Forum Schiste tente de faire un travail honnête de communication dans un contexte difficile de peu de crédibilité du lobby du gaz de schiste.
 Cependant, à cause de l'arrogance de l'industrie du gaz de schiste au Québec et des encouragements du gouvernement québécois dans ce dossier, le niveau de confiance entre l'opinion publique – et en particulier la majorité des Québécois qui s'opposent au gaz de schiste – est tellement bas que le site Forum Schiste fait face à beaucoup de cynisme et de craintes de manipulations.

L'industrie du gaz de schiste récolte les fruits de»  son mépris pour les citoyens.
 Le site Forum Schiste ne serait donc ni tout à fait un « site façade » ne servant qu'à récupérer des données brutes sur les détracteurs du gaz de schiste, ni tout à fait une plateforme d'échange limpide sur laquelle les entreprises pétrolières se font un plaisir de dévoiler les dessous de la fracturation hydraulique.
Impossible de savoir si les entreprises sont de bonne foi
D'ailleurs, comme le note Marc Durand, depuis la création du forum début juin, très peu de réponses ont été apportées par les entreprises… Et lorsque réponses il y a eu, l'honnêteté et la transparence promises n'y semblaient pas si évidentes.
Les interviews vidéo publiées par Forum Schiste sont aussi une source de suspicion chez les scientifiques et les internautes.
Parmi les deux personnalités les plus souvent interrogées par la plateforme figurent Stéphane Gosselin, directeur général de l'APGQ – partisan de l'exploitation du gaz de schiste – et Eric Darier, directeur de Greenpeace Québec. (Rechercher & Voir la vidéo sur YouTube)
Or, force est de remarquer que les propos de ce dernier n'ont quasiment jamais trait au sujet du gaz de schiste. L'essentiel des vidéos tourne autour des énergies renouvelables, du gaz naturel conventionnel – chose que le gaz de schiste n'est pas – et des retombées économiques d'une planification écologique.
Greenpeace Canada prévient d'ailleurs :
« Nous avons pris la décision de fournir nos arguments à ce forum afin que les visiteurs de ce site puissent avoir une autre perspective sur la question du gaz de schiste que celle de l'industrie.
Tout le monde ici sait que Greenpeace s'oppose au gaz de schiste. Mais, bien entendu, Greenpeace ne contrôle pas le montage ni la présentation des infos diffusées. »
 Questionnée sur ses intentions il y a plusieurs jours, la firme Parta Dialogue n'a apporté qu'une promesse de réponse « dans la journée » qui se fait encore attendre.
Quoiqu'il en soit, face à l'agressivité d'une industrie du gaz qui envisage la construction de « 150 à 600 puits par année [au Québec] à compter de 2015 », le Parti québécois (opposition parlementaire) a annoncé qu'il déposerait une proposition de loi pour faire interdire la fracturation hydraulique dans la province.
Reste que les citoyens québécois, qui se souviennent bien de la proposition de moratoire déjà déposée plusieurs mois auparavant – et que le gouvernement n'avait jamais fait étudier –, ne se sentent pas vraiment rassurés par cette annonce.