Article de Patrick Crasnier - Boulevard Voltaire Le 23 décembre 2014
Verrons-nous, demain, des lieux interdits aux enfants de catholiques et aux chiens ?
Un fait divers qui pourrait, à première vue, paraître sans importance se révèle, en seconde lecture, une affaire extrêmement grave. Sous son aspect anodin se cache une véritable discrimination de tous ceux qui ne sont pas les apôtres de la pensée unique socialo-communiste.
Yvré-l’Évêque, petite commune proche du Mans. Un maire (Dominique Aubin) et son adjointe (Françoise Deranque) décident de faire un goûter de Noël pour les enfants du village. Ceux de l’école publique et ceux de l’école privée. Cette générosité de la commune n’était pas du goût des enseignants de l’école publique (école primaire Condorcet), qui ont refusé d’y participer sous le fallacieux prétexte que le maire ne respectait pas la laïcité en invitant l’école privée.
Le maire, après le premier étonnement, explique que tous les élèves de la commune, des deux écoles, ont participé à la décoration de la ville pour Noël, en particulier en peignant les boules ornant le sapin devant l’église. C’est pour remercier l’ensemble des enfants de la commune que ce goûter a été organisé.
Beaucoup ont trouvé cette querelle imbécile et risible en 2014, la guerre des écoles privées et publiques est terminée depuis longtemps. Le village n’est pas celui de Peppone et Don Camillo, mais le conflit existe bien et le goûter fut celui de la discorde.
Je ne reprendrai pas les arguments des enseignants engagés dans cette guerre à retardement, tant ils sont éculés et sans intérêt. La seule chose qui soit remarquable et qui doive faire prendre ce fait divers au sérieux, c’est la continuité des agressions envers tout ce qui n’est pas l’idéologie socialo-communiste digne des années 50. Retrouver son enfant interdit de goûter parce que le maître d’école refuse d’y participer pour des raisons politiques, c’est faire de cet enfant, au mieux, un révolté, au pire, un endoctriné.
Comment ne pas être choqué par ces attitudes dignes du plus profond mépris du « vivre ensemble », leitmotiv de ceux qui prônent cette exclusion. La France de Vichy, qui s’était très bien adaptée au fascisme, écrivait sur ses commerces ou lieux publics « interdit aux Juifs et aux chiens » sans que les Allemands leur en intiment l’ordre. Verrons-nous, demain, des lieux interdits aux enfants de catholiques et aux chiens ? Verrons-nous des bus scolaires pour les écoles privées et ceux pour le public ou alors les places assises pour les socialistes vérifiés par la Milice et les places debout pour les autres, ceux qu’on appelle avec dégoût la droite.
Il est temps de réagir, il est temps de ne plus se laisser dicter ce qui est bien ou mal par cette forme de fascisme de gauche qui a rempli les prisons et les camps d’URSS et qui a fait des millions de morts. Il est temps, enfin, que le destin des Français soit enfin repris par ceux qui n’en veulent pas à notre pays ni à notre culture. Doit-on attendre qu’un général parte à Londres (ou ailleurs), nous appelle à la résistance et que Zemmour dirige l’antenne d’une radio de la France libre ?
Heureusement, le goûter a donné du bonheur aux enfants et nombre de parents n’ont pas suivi le mot d’ordre des enseignants politisés (mille excuses pour le pléonasme).
NdB : Plus de morale, plus aucune déontologie, et surtout pas l'ombre d’honnêteté intellectuelle de la part de ce cartel de "je sais tout". Et pourtant, la connerie trouve toujours tribune alors que la France d'en bas se meurt de ne pouvoir hurler son mécontentement. Décidément, Noam Chomsky avait bien raison en parlant de fabrique du consentement
Verrons-nous, demain, des lieux interdits aux enfants de catholiques et aux chiens ?
Un fait divers qui pourrait, à première vue, paraître sans importance se révèle, en seconde lecture, une affaire extrêmement grave. Sous son aspect anodin se cache une véritable discrimination de tous ceux qui ne sont pas les apôtres de la pensée unique socialo-communiste.
Yvré-l’Évêque, petite commune proche du Mans. Un maire (Dominique Aubin) et son adjointe (Françoise Deranque) décident de faire un goûter de Noël pour les enfants du village. Ceux de l’école publique et ceux de l’école privée. Cette générosité de la commune n’était pas du goût des enseignants de l’école publique (école primaire Condorcet), qui ont refusé d’y participer sous le fallacieux prétexte que le maire ne respectait pas la laïcité en invitant l’école privée.
Le maire, après le premier étonnement, explique que tous les élèves de la commune, des deux écoles, ont participé à la décoration de la ville pour Noël, en particulier en peignant les boules ornant le sapin devant l’église. C’est pour remercier l’ensemble des enfants de la commune que ce goûter a été organisé.
Beaucoup ont trouvé cette querelle imbécile et risible en 2014, la guerre des écoles privées et publiques est terminée depuis longtemps. Le village n’est pas celui de Peppone et Don Camillo, mais le conflit existe bien et le goûter fut celui de la discorde.
Je ne reprendrai pas les arguments des enseignants engagés dans cette guerre à retardement, tant ils sont éculés et sans intérêt. La seule chose qui soit remarquable et qui doive faire prendre ce fait divers au sérieux, c’est la continuité des agressions envers tout ce qui n’est pas l’idéologie socialo-communiste digne des années 50. Retrouver son enfant interdit de goûter parce que le maître d’école refuse d’y participer pour des raisons politiques, c’est faire de cet enfant, au mieux, un révolté, au pire, un endoctriné.
Comment ne pas être choqué par ces attitudes dignes du plus profond mépris du « vivre ensemble », leitmotiv de ceux qui prônent cette exclusion. La France de Vichy, qui s’était très bien adaptée au fascisme, écrivait sur ses commerces ou lieux publics « interdit aux Juifs et aux chiens » sans que les Allemands leur en intiment l’ordre. Verrons-nous, demain, des lieux interdits aux enfants de catholiques et aux chiens ? Verrons-nous des bus scolaires pour les écoles privées et ceux pour le public ou alors les places assises pour les socialistes vérifiés par la Milice et les places debout pour les autres, ceux qu’on appelle avec dégoût la droite.
Il est temps de réagir, il est temps de ne plus se laisser dicter ce qui est bien ou mal par cette forme de fascisme de gauche qui a rempli les prisons et les camps d’URSS et qui a fait des millions de morts. Il est temps, enfin, que le destin des Français soit enfin repris par ceux qui n’en veulent pas à notre pays ni à notre culture. Doit-on attendre qu’un général parte à Londres (ou ailleurs), nous appelle à la résistance et que Zemmour dirige l’antenne d’une radio de la France libre ?
Heureusement, le goûter a donné du bonheur aux enfants et nombre de parents n’ont pas suivi le mot d’ordre des enseignants politisés (mille excuses pour le pléonasme).
NdB : Plus de morale, plus aucune déontologie, et surtout pas l'ombre d’honnêteté intellectuelle de la part de ce cartel de "je sais tout". Et pourtant, la connerie trouve toujours tribune alors que la France d'en bas se meurt de ne pouvoir hurler son mécontentement. Décidément, Noam Chomsky avait bien raison en parlant de fabrique du consentement
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