La VOITURE ULTIME pour être libre


[PAL-V | Ultime Liberté] Source: LYBIO.net  de Novembre 2012

Cette année, nous avons annoncé le premier vol d'un prototype de voiture volante. Ce véhicule unique est appelé le PAL-V un ou l'Air personnels et des véhicules terrestres. Et il marque le début d'une nouvelle ère du "porte-à-porte+mobilité". Sur le terrain, le véhicule se conduit comme une voiture de sport. Quelques minutes plus tard, son rotor est déplié, sa queue est prolongée, et il est prêt à décoller. Le Pal-V est très sûr et facile à piloter, grâce à la technologie avancée de gyrocoptère, ce qui permet pour le décollage et l'atterrissage dans de petits espaces.


PAL-V Flying Car Introduction

“http://Lybio.net
The Accurate Source To Find Transcript To PAL-V Flying Car Introduction.”


Grâce à ces résultats probants, nous avons démontré qu'il est non seulement possible de construire une voiture volante, mais aussi qu'il peut être fait dans les règles internationales existantes à la fois pour vol et de conduite. Depuis plus de 100 ans, les gens ont rêvé de la liberté d'une voiture volante et de nombreuses tentatives ont été faites pour réaliser ce rêve, mais maintenant il est vraiment devenu une réalité.
PAL-V créer un nouvel avenir en matière de mobilité.

NOTA du Bloggeur : Voilà l'objet de tous mes désirs pour vivre heureux en famille au Brésil !
et voici un autre lien en attendant la commercialisation prévue en 2014 : http://pal-v.com/
ainsi que celui-ci qui m'amuse beaucoup car à mon sens, le choix est vite fait http://blog.avionslegendaires.net/2012/04/la-guerre-des-voitures-volantes-pal-v-one-contre-terrafugia-transition/ 

Deux Articles autour du Mariage pour Tous et.....


Douze ans de mariage gay en Hollande : un bilan terrifiant

Minorités"
Publié sur Rue89 de Laurent Chambon | Co-fondateur de Minorités



Voilà presque douze ans que deux hommes ou deux femmes peuvent aussi se marier aux Pays-Bas. L’ouverture du mariage était une première mondiale, les pays scandinaves ayant jusqu’alors inventé de nouvelles formes de contrats pour les couples du même sexe.
C’était un lundi matin, au lycée où j’enseigne le français, au lendemain de l’énorme cortège des opposants à l’égalité entre hétéros et homos (il faut bien appeler ça par son nom) avec des slogans haineux et des serre-tête bleu marine. La télévision néerlandaise avait ouvert le journal du dimanche soir sur des images spectaculaires et un commentaire ahuri de la correspondante à Paris, du style « des centaines de milliers de Français refusent l’égalité pour les homos ». 
A la Gay Pride d’Amsterdam, le 3 août 2012 (MARGRIET FABER/AP/SIPA)

« Pourquoi les gens étaient dans la rue ? »

Ma classe de cinquième (première classe de collège ici) est un peu nerveuse et je leur demande ce qui ne va pas.
« Monsieur, pourquoi les gens étaient dans la rue en France pour refuser le mariage des gays ? »
Je leur explique donc que le gouvernement de gauche, formé après l’élection présidentielle de l’année dernière (tout le pays l’avait suivie et commentée), a lancé un débat sur l’ouverture du mariage aux couples du même sexe. J’essaye d’en profiter pour parler de l’opposition droite/gauche et du nom des différents partis. Mais je sens la classe fébrile.
« Mais monsieur, on ne comprend pas pourquoi ils sont contre. »
J’essaye de leur expliquer le poids de l’Eglise, les problèmes de l’opposition à se rassembler, tout ça. Ça n’arrange rien, ça bavarde, je sens que ça va finir par des punitions.
Finalement une fille un peu plus verbale que les autres se décide...
« Non mais monsieur, on ne comprend pas pourquoi ça les dérange que d’autres personnes se marient. Cela ne les concerne pas. On ne va pas les obliger à se marier avec un autre homme s’ils sont des hommes, ou avec une autre femme s’ils sont des femmes. »
« Oui, vous n’expliquez pas bien, on ne comprend toujours pas pourquoi ! »
Bref, le prof est nul.

L’office de tourisme était ravi

Et c’est vrai, j’avais du mal à trouver un seul bon argument en faveur des manifestants de la veille. Je pouvais essayer de les balader avec un truc sur l’Eglise ou l’UMP au bord de l’explosion, sous menace du FN, mais pas de vraie raison crédible à leurs yeux. Je ne sais pas si c’est pareil dans les collèges et les lycées français, mais ma collègue de français, dans la salle d’à côté, a eu le même genre de questions, et elle a eu le même embarras à expliquer pourquoi.
En 2013, ça fait douze ans que les couples de même sexe peuvent se marier. On est arrivés là grâce à un débat, à la fin des années 80, sur la question de l’égalité. Ce débat a débouché sur un changement constitutionnel en 1991 (l’article premier de la Constitution stipule que tout le monde doit être traité de façon égale), et sur la mise en place d’un partenariat civil ouvert à tous les couples en 1997.
Ce partenariat a été amélioré à tel point que ses conséquences juridiques étaient les mêmes que le mariage, ce qui a fait que le mariage a finalement été ouvert à tous les couples au début du XXIe siècle. Le maire d’Amsterdam s’est empressé de marier plusieurs couples de même sexe le 1er avril 2001 à 00h01, en présence des caméras du monde entier. Amsterdam, ville la plus tolérante du monde. L’office de tourisme était ravi.
Et depuis ? Rien.
Enfin si. Pas mal de choses, même. Mais pas comme on pourrait l’imaginer.

Eliminés de tous les concours de l’Eurovision

On a eu le 11 Septembre et l’assassinat de Pim Fortuyn, folle populiste amateur de jeunes prostitués marocains. Les Pays-Bas se sont déchirés sur la question de l’islam, Rita Verdonk a été la première à draguer les homos pour qu’ils votent pour elle, au nom de l’égalité homos-hétéros menacée par les méchants musulmans. Geert Wilders l’a remplacée, sans rien changer de ce côté.
Surtout, les Pays-Bas ont été systématiquement éliminés de tous les concours de l’Eurovision, même après avoir essayé les folles, les vieux, une Turque, des Noirs, des beaufs, d’autres folles, des grandes blondes. Rien à faire. Un vrai drame national.
Beaucoup de catholiques, pour la plupart hétérosexuels, ont quitté l’Eglise à cause de son attitude intransigeante et de sa haine des homos. Les gays et les lesbiennes ne sont pas nombreux, mais entre leurs parents, leurs frères et sœurs, leurs amis et leurs collègues, ça commence à faire du monde.
Pas mal d’Eglises protestantes ont beaucoup bougé sur la question. Les plus progressistes condamnent toute discrimination comme étant contraire à l’esprit du message de Jésus. Les autres ont beaucoup de mal à justifier le traitement différent entre les couples de même sexe et les autres, de la même façon qu’elles ont du mal à justifier la position inférieure des femmes dans la société, la famille et la communauté.

Des imams homophobes désavoués

Les partis politiques chrétiens-démocrates ont nommé des ministres ouvertement gays et lesbiennes. Le CDA a même nommé un homo laid, obèse et incompétent comme ministre du Budget dans l’avant-dernier gouvernement, preuve s’il en est que même les homos peuvent accéder à un poste où ils s’illustrent par leur nullité et leur laideur, comme les hétérosexuels.
Quand il a révélé s’être finalement marié avec son partenaire, les Hollandais ont applaudi poliment, se demandant discrètement quel homme voudrait bien d’un mari aussi moche. L’attrait du pouvoir peut-être ? Ou si ça se trouve il est vraiment gentil. Ou très doué au lit. Personne n’a de réponse à ce jour.
Du côté du judaïsme (micro-communauté essentiellement amstellodamoise) et de l’islam (même proportion qu’en France), rien.
Enfin si, j’exagère. Des imams homophobes ont été désavoués par leurs ouailles et pour certains renvoyés dans leur pays d’origine. Pour le reste, les musulmans bien en vue rappellent que faire preuve d’intolérance est inacceptable, et les mosquées organisent des cercles de discussion pour aider les vieux qui ne parlent pas bien néerlandais à dépasser leur homophobie culturelle. Et même, pour certains, à renouer le contact avec leurs enfants homos. Eh, la famille avant tout.
Les protestants ultra-fondamentalistes (rassemblés politiquement derrière leSGP : femmes interdites d’élection, la Bible est leur programme, 2% de l’électorat), quant à eux, s’enfoncent dans la talibanisation. Leurs dérives sectaires sont l’objet des moqueries dans la presse et sur Internet, et la mixité homme-femme leur a été imposée par les tribunaux. Les journaux protestants analysent régulièrement avec les spécialistes l’isolement du SGP et de leurs ouailles du reste de la société, et s’inquiètent du fait que pour la première fois les Néerlandais ne les trouvent plus mignons ou folkloriques, mais effrayants.

Les « cas de conscience » au chômage

Les deux sujets de discorde qui existent encore sont l’enseignement et les « weigerambtenaren » (de « weigeren », refuser, et d’« ambtenaar », fonctionnaire). Mais pour combien de temps ?
Dans l’enseignement religieux sous contrat, un trou dans la loi permettait aux écoles ultra-religieuses de licencier des enseignants qui sortaient du placard. Finalement, le seul cas qui a jamais eu lieu a été jugé illégal (surtout parce que l’école n’a pas suivi les protocoles en vigueur, en particulier un premier entretien avant licenciement). Et l’opinion est désormais quasiment unanimement défavorable à cette possibilité.
En tant que prof dans l’enseignement public, je n’ai jamais caché que j’étais marié avec un homme. Les seules questions qui torturent mes élèves sont pourquoi je n’ai pas encore adopté d’enfants (« Vos enfants auraient vraiment des bonnes notes en français ! ») et de savoir si mon mari est beau.
Dans les mairies, certains fonctionnaires d’état civil avaient la possibilité de refuser d’unir les couples de même sexe au nom de leur liberté religieuse. On les appelle donc les « weigerambtenaren ». Il s’agit en fait de quelques cas de chrétiens fondamentalistes dans quelques petites communes de province, qui n’ont jamais débouché sur l’impossibilité de se marier pour des couples de même sexe. En gros, personne n’en a encore vraiment souffert en vrai.
Les communes qui avaient licencié des « weigerambtenaren » ont été condamnées à réintégrer ces fonctionnaires, parce les juges ont estimé que c’était la commune qui avait obligation de marier les couples qui le désiraient, et pas les fonctionnaires. En gros, la commune devait s’assurer que ces fonctionnaires intolérants étaient remplacés par d’autres en cas de risque de discrimination.
Après d’âpres discussions, les chrétiens fondamentalistes jouant aux victimes, le gouvernement actuel (une alliance gauche-droite où ne figure aucun parti religieux) a décidé qu’après dix ans, ça suffisait les bêtises et que les fonctionnaires allaient devoir accepter de marier tous les couples, sinon le CWI (le Pôle emploi local) serait l’endroit idéal où aller raconter leurs malheurs de chrétiens opprimés. Et sans indemnités.

L’extrême droite pro-mariage gay

Enfin, détail piquant (même si je pense, et je l’ai dit dans mon dernier livre, que le Front national de Marine Le Pen va suivre la même voie), l’extrême droite néerlandaise a largement instrumentalisé l’égalité hommes-femmes et homos-hétéros pour mieux ostraciser les musulmans.
Une extrême droite homophobe ? Cela n’existe plus. Son public-cible (surtout les petits Blancs des classes moyennes inférieures des banlieues construites sur les polders) ne comprendrait pas pourquoi on discriminerait son voisin, son enfant, son frère, sa sœur ou soi-même.
Ah oui, j’oubliais. Dernière chose : la police est entraînée à s’enquérir de l’origine homophobe, sexiste ou raciste de violences, qu’elles soient verbales ou physiques. La conséquence est que les violences motivées par l’homophobie donnent lieu à des condamnations deux fois plus sévères. Sans exception.

Perspective terrifiante, pour les homophobes

Donc oui, les intégristes de tout poil qui se sont rassemblés par centaines de milliers à Paris ont des soucis à se faire. On voit bien, avec une décennie de recul, qu’aux Pays-Bas l’ouverture du mariage a eu des conséquences tangibles :
  • plus grande tolérance envers les homos ;
  • stigmatisation des violences homophobes, verbales comme physiques ;
  • énorme perte de crédibilité pour l’Eglise catholique ;
  • pressions pro-femmes et pro-homos au sein des Eglises protestantes ;
  • isolement/talibanisation de l’extrême droite chrétienne, coupée de l’extrême droite politique et de l’immense majorité des habitants...
Perspective terrifiante, donc.
Pour les homophobes.

« Marions-nous avec nos chevaux » : mon cousin curé sur Facebook

Publié sur Rue89 le 25 janvier 2013 par Baptiste de Cazenove | Riverain
Sur mon compte Facebook, j’ai recommandé un article de Ru89, « Douze ans de mariage gay en Hollande, un bilan terrifiant ». (Nota du bloggeur : les autres articles sont excellents et à lire attentivement)
Mon cousin, prêtre, a commenté :
« Moi, je demande une loi portant la journée à 30 heures et je m’en fous qu’elle n’en fasse que 24 : je veux dormir plus.
J’emmerde le réel ! J’exige une loi abolissant l’hiver, la neige et le froid, la sécheresse aussi, la connerie surtout. Quant à l’amour, je trouve les militants du “mariage pour tous” complètement ringards et étriqués : si l’amour est la seule condition du mariage eh bien moi je demande tout : marions-nous avec deux, trois, quatre hommes ou femmes, et plus si affinités, avec nos sœurs, nos frères, nos bébés, nos fils, nos filles, nos mères, nos pères, et pourquoi pas nos grands-parents ? ! ! ! Et allons-y !
Et puis non, pardon, j’allais oublier l’essentiel : nos chats, nos chiens, nos chevaux et ne disons pas adieu à nos veaux, vaches, cochons, couvées ! Toute la ferme devant Monsieur le Maire ! Ça se serait une vraie ferme des Célébrités ! Caligula si tu m’entends ! ... »

Capture d’écran du compte Facebook de Baptiste de Cazenove

Un certain sentiment de révolte

La haine contenue dans ce message résume l’attitude des ces militants anti-mariage gay. L’attitude de mon cousin me pousse non seulement à prendre clairement position en faveur du mariage gay, mais aussi à annoncer ouvertement mon homosexualité.
MAKING OF
Le message de Baptiste de Cazenove ressemble aux témoignages recueillis dans un précédent article publié sur Rue89,« Comment gâcher un déjeuner en famille ? En parlant du mariage gay ». Le projet de loi a refroidi beaucoup de relations entre amis, collègues et a même valu à certains des « retraits d’amis » sur Facebook. Le mariage gay divise aussi les familles, cathos comme de droite. Violemment parfois, en témoigne ce texte. Emilie Brouze
Au-delà de mon cas particulier, je pense qu’il est exemplaire d’un certain sentiment de révolte chez les gays, en France, dans le climat actuel.
Toi, prêtre, ni dans ta foi ni dans ta vocation, je ne t’ai remis en cause. Alors pourquoi toi, aujourd’hui, dans mon être et ma citoyenneté, te le permets-tu ? Et comment oses-tu te parer des habits du civilisé pour me traîner dans ceux du fainéant, du fou, du barbare ? Et finalement, par quels habiles arguments justifies-tu tout cela déjà ? Ah oui…
Sache que je ne suis ni zoophile, ni incestueux, pas plus que je ne suis gérontophile ou polygame. Mais j’aime. J’aime les hommes. Un surtout, grand bien t’en fasse. Tu aimes Jésus, autant pour moi.
Le réel que tu évoques, c’est toi. Et moi, elle, lui et eux, cette somme d’individus qui bâtit une société. Toi, vous, catholiques, depuis une certaine loi de 1905, n’avez plus l’exclusivité du droit. Pas plus celle de la morale, si un œil, même distrait, observe vos églises vides. Chacun est désormais libre se réinventer sous les auspices de l’Etat, et c’est tant mieux.

Je suis blessé par la violence du débat

Ni militant, ni activiste, ce débat je le trouvais un peu ringard, moi aussi. Après tout, pourquoi les homos devaient-ils copier un modèle hétéro-normé qu’ils avaient tant conspué ? Et pourquoi, à l’heure de la diminution des mariages, de l’explosion des divorces et de la multiplication des schémas familiaux devaient-ils faire leur une institution accouchée d’un catholicisme du Moyen Age ?
Dans mon fort, tout de même, je soutenais cette réforme. Je pensais à ces dizaines, ces centaines, voire ces milliers de couples homos, parfois des familles, qui, sans protection juridique, sans contrat qui reconnaissent leur amour, se trouvent le lieu de tragédies effroyables. Je pensais aussi à notre constitution. L’égalité entre citoyens est une nécessité, pas une éventualité. Deux raisons suffisantes pour soutenir, même passivement, une telle avancée.
S’en sont suivies manifestations, campagnes et allocutions. Non pas surpris par l’ampleur du débat, je suis blessé par sa violence. Blessé par cette haine déversée sur les réseaux sociaux, dans les médias et dans les rues. Blessé par le mépris que tu m’infliges publiquement, toi mon cousin. Toi un prêtre.

Avancez des arguments dignes d’être entendus

Depuis lors, face à une France que je pensais apaisée à l’égard des pédés, je m’engage aux cotés de ces activistes, aux cotés de ces couples et de ces familles, pour avec eux, exiger l’égalité que vous nous dénigrez.
Exprimez-vous, manifestez, gueulez, mais par supplice avancez des arguments dignes d’être entendus. Alors nous vous écouterons.
De quoi avez-vous peur après tout ? Pensez-vous que les 10% d’homosexuels qui habitent dans votre pays, dans votre ville, dans votre rue, porteront atteinte à votre liberté de penser et vivre selon vos préceptes ? Je ne le pense pas. Je crois qu’ils vous laissent déjà libre de vos choix, laissez-les libres des leurs. Jamais, toi mon cousin, je ne t’ai imposé de conduite, laisse-moi libre de la mienne.

Nota : Et vous, quel est votre avis ?

Si, il y a de la place dans les écoles de Ris-Orangis. Mais pas pour les Roms


Article de Elsa Ferreira  édité sur Rue89

Lundi, douze enfants roms ont fait leur rentrée scolaire dans la commune de Ris-Orangis, dans l’Essonne. Bonne nouvelle. Si ce n’est que leur école n’en est pas vraiment une. Il s’agit plutôt d’un « gymnase », de préfabriqués ou d’« une salle municipale », selon les interlocuteurs.
Ce qui est sûr, c’est que l’endroit n’est pas dans l’une des écoles de la commune. Et que les petits Roms ne partagent pas leur récré avec leurs camarades non-roms qui, eux, ont le droit à une école comme les autres.
La presse, les associations, et une bonne partie des Rissois, s’indignent. « Ségrégation », « apartheid », « racisme ». Les grands mots fusent, au grand dam du maire PS de la ville, Stéphane Raffalli.

De la place, à l’école Maurice-Guerton

« Je n’ai pas de place », oppose-t-il à qui oserait lui donner des « leçons de solidarité », dont il n’a, dit-il, pas besoin.
Tout est question de point de vue. De la place, il y en a. Et il ne faut pas aller très loin : 550 m environ, du bidonville à la porte de l’école Maurice-Guerton, où la directrice Patricia Krys nous confirme que oui, il y a de la place pour les écoliers roms en âge d’aller en primaire, et qu’elle « n’attend qu’une chose : les accueillir ». Mais M. Raffalli ne lui a pas demandé, dit-elle.
Saisi du dossier selon Libération, le Défenseur des droits demande à l’édile de s’expliquer et ce, depuis plusieurs semaines. Pour le cabinet de Dominique Baudis, cité par le quotidien :
« La question du caractère discriminatoire de cette classe se pose car il y a un accès différencié et non justifié aux services de l’enseignement public à raison de l’origine des enfants. »

Le maire : « Dans l’intérêt des enfants... »

Joint par téléphone, monsieur le maire s’explique :
« Ce sont des enfants qui ne sont jamais allés à l’école, n’ont jamais eu de vie scolaire. Je pense qu’il est dans l’intérêt de ces enfants d’avoir du personnel qualifié, spécialement adapté à leurs besoins. »
Il a d’ailleurs demandé lui-même, insiste-il, un personnel spécialement formé à la directrice de l’inspection académique ; qui a d’ailleurs dû approuver son projet puisqu’elle lui a donné l’aval, assure-t-il.
Le maire a donc embauché deux enseignantes Clin – pour classe d’initiation, une initiative qui permet aux enfants non-francophones d’avoir une éducation personnalisée quelques heures par semaine –, consacrées à plein temps aux « élèves de Ris-Orangis ».
L’une de ces enseignantes spécialisées est d’ailleurs venue tout droit de l’école... où il y avait de la place. Elle y donnait six heures de cours par semaine à des élèves qui pouvaient ensuite se mélanger à leurs camarades francophones.

« Il y aurait eu un refus des autres élèves »

Le maire persiste pourtant, sa « boussole est au Nord » et il sait ce qu’il fait. « La solidarité ça ne s’impose pas, il martèle, ça se construit. »
« On ne déstabilise pas une classe existante avec de nouveaux arrivants. Ce n’est bon pour personne. Ça perturbe la classe, et ça bloque l’intégration.
Si j’avais décidé de scolariser, il y aurait eu un refus des autres élèves. Si vous créez des tensions, vous ne réussissez pas. Là, c’est une relation gagnant-gagnant. C’est un grand progrès par rapport à avant, où ils n’étaient même pas scolarisés. »
« Une relation gagnant-gagnant » en créant un « sas vers la scolarité ». Mais après ce sas, pas de plan du côté de la mairie. « A chaque jour sa peine », répond M. Raffalli.

Des tracts de la mairie contre le bidonville

Pour les associations, la situation des nouveaux écoliers est liée à la volonté du maire d’expulser les Roms de leur campement. Mme Krys, qui précise revêtir cette fois-ci sa « casquette de citoyenne », approuve :
« L’objectif du maire, ce n’est pas que ça perdure ; c’est de démanteler le bidonville. »
Et M. Raffalli ne s’en cache pas ; il a même distribué une dizaine de milliers de tracts dans les boîtes aux lettres rissoises pour afficher sa position aux riverains. Mais il dénonce l’instrumentalisation politique du cas des Roms, de la part d’« activistes bien connus » en mal de tribune.
« Il faut laisser ces enfants tranquilles. Toute cette agitation autour de cette classe, ça ne leur fait pas de bien du tout. »
NOTA : Un article de plus sur le sujet ; qui à mon avis ne pose aucune question sur l'origine du problème "Qui en veut chez soit, des Roms,  GitansTsiganes (ou Tziganes), ManouchesRomanichelsBohémiens et autres Sintis" ?
Venus des indes, ils ont voyagé de pays en pays, souvent chassés, très rarement acceptés. Pour finir par quitter la Russie, la Roumanie, la Hongrie, la Bulgarie, l'Albanie principalement pour venir dans les pays européennes qui fournissent les meilleures conditions d'asile. Si en France, ils étaient internés dans des camps de réfugiés dont celui de Crest de 1915 à 1919 et que dés le 16 septembre 1939, la France a commencé à les juger indésirables, les choses ont changés maintenant. L'entrée de la Roumanie dans l'Union européenne, le 1er janvier 2007, a facilité la circulation des Roms roumains et bulgares, ceux-ci n'ayant plus besoin de visa pour entrer en France.
Cependant, jusqu'en 2014, les ressortissants de la Bulgarie et de la Roumanie ne sont pas totalement bénéficiaires du principe de libre circulation européen et, pour travailler officiellement, ont besoin d'un titre de séjour et d'une autorisation de travail. De plus, la directive communautaire de 2004 sur la libre circulation des ressortissants de l'UE n'a pas été totalement transposée en droit français, notamment ses dispositions relatives aux garanties accordées aux personnes expulsées.
Les expulsions de Roms sont passées de 2 000 en 2003 à environ 8 000 en 2008. Depuis 2007, le nombre de reconduites à la frontière de Roms roumains en France se situe entre 8 000 et 9 000 par an, représentant environ 30 % des objectifs chiffrés de reconduite à la frontière. Ces retours sont en grande partie volontaires car ils sont assortis de primes de 300 € par adulte et 100 € par enfant et de la prise en charge du billet d'avion.
En 2009, la France a expulsé 10 000 Roms originaires de Roumanie ou de Bulgarie. Le 9 septembre 2010, le Parlement européen a réclamé la suspension de ces retours forcés, contraires au droit communautaire.
8 030 Roumains et Bulgares en situation irrégulière ont ainsi été reconduits par la France dans leur pays d'origine entre le 1er janvier et le 25 août 2010. Selon le ministre Éric Besson, 1291 l'ont été de manière contrainte, et 6739 de manière volontaire, au moyen de 27 vols "spécialement affrétés". 
Depuis, on prend le parti de le sédentariser en attendant qu'ils se lassent des 500 euros par mois donner à chaque famille, qu'ils commettent un crime ou un délit majeur, qu'ils cessent de visiter nos maisons et jardins, qu'ils s’électrifient aux bons soins de la S.N.C.F., etc.... Ironique, mais tellement vrai. Même les bonnes âmes des collectifs n'en veulent pas à coté de chez eux. Il est tellement plus facile d'être généreux avec l'argent des autres. 
Alors, on en arrivent à la lecture de cette article, un de plus.... sur ces petits Roms qui ne sont pas mélangés au autres, parce qu'un maire doit protéger aussi son image auprès de ces loyaux citoyens qui eux payent l'école, les crèches, les cantines, les impôts locaux tout simplement. Et que de toute façon,  les petits Roms ne peuvent pas partager pas leur récré avec leurs (déjà) camarades non-Roms qui, eux, ont le droit à une école comme les autres (pour ceux qui ne comprennent pas : reprendre le chapitre au début). Important détail, ils ne parlent déjà pas la même langue

A mon avis, que les bien-pensants et autres donneurs de leçons politiquement très corrects louent les service d'un professeur au chômage parlant le français et les langues "Roms" pour enseigner directement au pied des caravanes, et on aura déjà fait un premier pas vers l'assimilation de ce peuple. N'est-ce pas ce qui se faisait dans les années 60-70 dans les camps de gitans et de manouches avant que la scolarisation devienne obligatoire !
Beaucoup des loyaux électeurs de Mr Rafalli doivent se demander qui statuera un jour sur les 7 camps de "gens du voyages" et autres cousins de France, puisque l'on a bien pris la décision à leurs places de les accueillir dans l'Union Européenne et de facto dans les "pays tirelire" comme notre autrefois beau pays ! En attendant, fermons bien nos portes le soir et regardons la télé !

Le gouvernement néerlandais montre la voie aux Européens et abandonne le modèle multiculture


Origine DREUZ.info Posté par: 


Une information essentielle pour les citoyens européens a été publiée dans le journal de l’Union Européenne, The European Union Times (1).
Le gouvernement Hollandais a déclaré qu’il abandonne son modèle multiculturel, qui a encouragé les immigrés musulmans à créer une société parallèle à l’intérieur des Pays-Bas.
Une nouvelle loi sur l’intégration, présentée par le ministre de l’intérieur néerlandais Piet Hein Donner, a été soumise au parlement hollandais.
Voici l’essentiel du document de 15 pages ainsi que la lettre d’introduction du Ministère :
Le Gouvernement partage l’insatisfaction du peuple Hollandais face au modèle de société multiculturelle, et exprime son intention de recentrer ses priorités autour des valeurs fondamentales du peuple hollandais.
Dans le nouveau système d’intégration, les valeurs du peuple néerlandais joueront un rôle central, dont le gouvernement exclue le modèle d’une société multiculturelle.
L’obligation de s’intégrer est justifiée par le fait que c’est ce qui demandé par le gouvernement à sa propre population. Elle est rendue nécessaire parce la société hollandaise est en train de se déliter et que plus personne ne se sent chez lui en Hollande.
La nouvelle politique d’intégration sera beaucoup plus exigeante vis à vis des immigrés. Par exemple, les immigrés devront obligatoirement apprendre le hollandais, et le Gouvernement prendra des mesures bien plus coercitives vis à vis des immigrés qui ignoreront les valeurs néerlandaises et qui désobéiront aux lois hollandaises.
Le Gouvernement hollandais va cesser de donner des aides à l’intégration des immigrés musulmans parce que « ce n’est pas le travail du Gouvernement d’intégrer les immigrés ».
Le gouvernement va également introduire une nouvelle législation qui interdira les mariages forcés, et il va prendre des mesures sévères contre les immigrés musulmans qui diminuent volontairement leur chances de se faire employer en raison de leurs choix vestimentaires.
Plus spécifiquement le Gouvernement va interdire le port des burqa qui couvrent le visage, et ce à compter du 1er janvier 2013.
Si nécessaire, le Gouvernement introduira des mesure de retrait des cartes de séjour aux immigrés qui ne s’intègrent pas.
Cette loi est soutenue par le nouveau centre-droit (VVD), les démocrates Chrétiens (CDA), ainsi que le Parti anti-islamique pour la liberté (PVV).
Les sondages indiquent que la majorité des néerlandais partagent le scepticisme du gouvernement sur le multiculturalisme. Selon un sondage publié par le quotidien centriste Trouw le 19 juin (2), 74% des électeurs hollandais affirment que les musulmans doivent respecter les valeurs du Pays-Bas, et 83% approuvent l’interdiction de la burqa dans les lieux publics.
On estime la population musulmane à 1.2 millions, soit 6% de la population totale. Mais ce chiffre cache la réalité, à savoir que la plupart des musulmans vivent dans les quatre principales villes du pays, Amsterdam, Rotterman, La Hague et Utrecht, qui comptent 2.2 millions d’habitants. Là où les musulmans sont présents en nombre, ils représentent donc 50% de la population hollandaise.
En décembre 2004, le ministère de l’intérieur néerlandais avait publié un rapport de 60 pages intitulé « de Dawa au Jihad », préparé par l’agence de renseignements hollandais, l’AIVD, qui concluait que la Hollande ne comptait pas moins de 50.000 musulmans radicaux dont l’objectif idéologique principal est de détruire le mode de vie occidental et d’attaquer la « domination politique, économique et culturelle » de l’occident. Le rapport concluait que la société néerlandaise est pauvrement équipée pour résister à la menace de l’islam radical en raison de sa « culture de tolérance » qui est devenue synonyme de « fermer les yeux » aux multiples transgressions de la loi.
Le ministre de l’intérieur Piet Hein Donner a récemment déclaré que son gouvernement « va prendre ses distances avec le relativisme que contient le modèle de la société multiculturelle ». Bien que les sociétés changent, a-t-il ajouté, elles ne doivent pas être « interchangeables avec d’autres formes de sociétés »
C’est la première fois qu’un gouvernement européen prend clairement position en faveur de son peuple et admet les dégâts commis par l’immigration. La première fois qu’un gouvernement européen respecte l’esprit du mandat pour lequel il a été élu. La première fois qu’un gouvernement dit à ceux qui ont peur, et qui ont la phobie de l’islam : vos peurs sont légitimes.
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© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info


NOTA de la part d'un internaute : LE MULTICULTURALISME A EU SA LEÇON : LA HOLLANDE VIENT DE LE FAIRE.

La Hollande là où 6 % de la population est musulmane rejette dorénavant le multiculturalisme : Le gouvernement hollandais en a assez de se faire piétiner par les musulmans et abandonne son modèle de longue-date de multiculturalisme qui n’a fait qu’encourager les immigrants musulmans à se créer une société parallèle et nocive à l’intérieur du pays.

Un nouveau bill présenté au Parlement hollandais par le Ministre de l’Intérieur Piet Hein Donner le 16 juin dernier se lit comme suit:

Le Gouvernement partage l’insatisfaction du peuple hollandais face au modèle de société multiculturelle en Hollande et exprime son intention de centrer maintenant ses priorités vers les valeurs fondamentales du peuple hollandais. Dans le nouveau système d’intégration, les valeurs hollandaises vont jouer un rôle central et de ce fait le gouvernement n’adhère plus au modèle de société multiculturelle.

La lettre poursuit:

Une intégration encore plus rigoureuse est parfaitement justifiée du fait que c’est ce que demande le Gouvernement à tout son peuple .Cette orientation est absolument devenue nécessaire parce la société hollandaise est en train de se désagréger en terme d’identité et plus personne ne se sent chez-lui en Hollande.

La nouvelle politique d’intégration sera beaucoup plus exigeante de la part des immigrants.

Par exemple les immigrants devront obligatoirement apprendre le hollandais et le Gouvernement hollandais va prendre des mesures d’avantage coercitives à l’endroit des immigrants qui ignoreront les valeurs du pays et désobéiront aux lois hollandaises.

Le Gouvernement hollandais va aussi cesser de donner des subsides spéciaux aux musulmans pour s’intégrer (alors qu’ils ne le font pas de toute façon) car selon Donner il n’appartient pas au Gouvernement et aux fonds publics d’intégrer les immigrants.

Le bill prévoit aussi la création d’une législation interdisant les mariages forcés ainsi qu’une législation imposant des mesures sévères pour ces immigrants musulmans qui diminuent volontairement leurschances d’emploi simplement de par la manière qu’ils se vêtent.

Plus spécifiquement le Gouvernement va interdire le port de vêtements couvrant tout le visage tel la burqua et ce à compter de janvier 2013.

La Hollande s’est rendu compte, peut-être sur le tard, que son libéralisme multiculturel est en train de faire du pays un territoire de tribus du désert qui somme toute est en train de tuer la nation d’origine ainsi que son identité propre.

Le futur de l’Australie, du Royaume-Uni du Canada de la France et de la Belgique, peut très bien se lire dans ce texte !!!
86% DES INTERNAUTES VONT FAIRE CIRCULER CE TEXTE.
CA DEVRAIT ÊTRE 100 %. LE FEREZ-VOUS ? OUI .

Mali : un soldat se croit dans un jeu vidéo


soldat tête de mort
L'image de ce soldat arborant un foulard de tête de mort a suscité une polémique. Photo : Issouf Sanogo/AFP

POLÉMIQUE - La photo d'un militaire français au Mali suscite la polémique sur Internet. Le soldat arbore un masque de tête de mort tiré de Call of Duty. "Un comportement pas acceptable" pour l'état-major des armées.

C'est une image très belle et terrifiante. Un militaire français en uniforme, dans une posture conquérante, le visage caché par un masque de tête de mort. La photo a été réalisée dimanche par Issouf Sanogo, un reporter de l'AFP à Niono, dans le centre du Mali, où sont déployés plus de 2000 soldats français.
"On n'est pas au carnaval"
Le foulard qu'utilise le soldat pour se protéger du sable rappelle un personnage du jeu vidéo de guerre Call of Duty. Alors que le jeune homme tient entre ses mains une véritable arme de combat, la référence a fait grincer des dents, et alimenter une polémique sur Internet. "Honteux", juge sur Twitter @MonsieurLapique. « Que fait le commandement pour interdire ce déguisement et sanctionner. On n'est pas au carnaval ! », a rencherri @Fregono.
L'armée n'a pas tardé à réagir pour désamorcer les critiques. "C'est un comportement qui n'est pas acceptable, a précisé à la presse le colonel Thierry Burkhard, porte-parole de l'état-major. Cette image n'est pas représentative de l'action que conduit la France au Mali." Le militaire est "en cours d'identification" et pourrait encourir des sanctions.
NOTA : Vous noterez plus haut l'avis de deux crétins qui "twittent" en prenant confortablement une place dans le métro, les mains bien propres et la conscience au repos et qui n'ont rien d'autre à faire que polémiquer en évitant de regarder la racaille déversée des trains de banlieue. Mais ont-ils assez de convictions, nos deux "outrés de l'image", pour démissionner de leur travail et prendre la place d'un assistant dans une ONG au Mali, un technicien dans une raffinerie en Algérie, un journaliste en Irak ou en Syrie, NON bien-sur ! C'est mieux que ce soit un jeune soldat sous-équipé, qui fasse le sale travail, envoyé au casse-pipe pour un peuple qui s'entretuera toujours pour un dieu ou pour un trafic de drogue, quand ce n'est pas par plaisir ou pour exister ! J'imagine très bien l'opinion de tels français sous occupation d'un territoire par un ennemi ! Ils twitteront cacher dans une cave...