Son objectif, transmis aux préfets, est de revenir à au moins 100.000 acceptations de dossiers par an, contre 46.000 en 2012.
Un coup à droite, un coup à gauche. Après avoir dénoncé les périls du projet de loi Taubira, Manuel Valls, qui clamait à La Rochelle sa fierté d’être socialiste, le prouve sur les naturalisations. Ce mercredi, en Conseil des ministres, il a présenté un décret visant à accentuer la reprise en main de préfets. Afin qu’ils soient encore plus souples dans l’instruction des demandes des étrangers.
Les préfets de région devront ainsi veiller à la bonne application des consignes dans les départements, à travers des plateformes régionales d’instruction des dossiers. Les premières seront installées à Nancy, Besançon et Beauvais. Déjà, l’Intérieur dévoile les chiffres qui attestent d’un changement de cap: + 14 % de naturalisations sur un an, entre juillet 2012 et juillet 2013.
Sous l’effet de la loi Guéant, celles-ci s’étaient effondrées, passant de 95.000 en 2010 à 46.000 en 2012. Mais dès sa nomination, Manuel Valls est revenu à des critères moins contraignants dans une circulaire en octobre 2012. Plus besoin d’être forcément détenteur d’un CDI pour espérer obtenir la nationalité française. Un CDD ou contrat d’intérimaire suffisent. Le fait d’avoir été un clandestin n’est plus un obstacle. Les étudiants étrangers et les moins de 25 ans qui résident depuis au moins dix ans France ont également droit à plus de compréhension.
Enfin, si l’exigence d’un niveau de français équivalent à celui d’un élève de troisième n’est pas formellement supprimée, le questionnaire sur les connaissances de la culture et des valeurs françaises l’a été ce mercredi.
Source et article complet: Le figaro
Nota du blogueur : Un grand merci aux personnes ayant voté à gauche, sans réfléchir : Grace à eux, nous allons travailler encore plus longtemps et gagner moins bien sur, pour nourrir et entretenir les nouveaux pogroms d'exilés qui ne travailleront jamais.....
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire