Fukushima/2012: Contamination radioactive de la chaîne alimentaire planétaire




Fukushima/2012: Contamination radioactive de la chaîne alimentaire planétaire
Origine ALTERINFO.ORG du Lundi 2 Mai 2011

En août 1945, alors que le Japon s’était militairement effondré, la mafia globaliste des prédateurs militaro-industriels initia la 3 ème guerre mondiale en détruisant les vies de centaines de milliers de civils Japonais en l’espace de quelques secondes. Les deux bombes atomiques, lâchées sur Hiroshima et Nagasaki, annonçaient une guerre totale et génocidaire à l’encontre de l’humanité entière avec la radioactivité comme arme de destruction massive. Le désastre nucléaire de Fukushima-Daiichi constitue une crise aiguë dans cet empoisonnement radioactif chronique de l’espèce humaine, et de toute la biosphère, qui perdure depuis 66 ans. 
Aujourd’hui, sept semaines après le tsunami du 11 mars 2011, la situation des réacteurs de la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi se dégrade inexorablement. Le 28 avril, TEPCO annonçait que la radioactivité ambiante était de l’ordre de 1220 millisievert/heure, ce qui correspond à quasiment 10 millions de fois la dose radioactive artificielle admissible en France (1 millisievert/année).TEPCO, réputé pour ses mensonges outranciers depuis le début de la crise, commence à préparer le monde entier à l’éventualité, plus que probable, de son incapacité à contrôler cette catastrophe nucléaire en 9 mois, ainsi que son carnet de route le stipulait. Certains réacteurs sont en fusion totale (et ce, depuis le premier jour), les fuites sont permanentes, les risques d’explosion sont plus que plausibles, etc, etc. Alors que les émissions d’isotopes de césium 137, de strontium 90, d’iode 131, de plutonium 239… contaminent en permanence l’atmosphère et l’océan, la presse Occidentale, aux ordres de la mafia globaliste, qualifie la situation de stable, ou d’ailleurs ne la qualifie plutôt pas, afin de ne pas paniquer les foules et surtout de ne pas courroucer le gang nucléaire. La situation est effectivement stable: la pollution radioactive de Fukushima pourrait durer de longues années à moins que de nouvelles explosions catastrophiques lui confèrent une tournure beaucoup plus abrupte. Le nord du Japon aurait déjà dû être évacué. A quand l’évacuation de Tokyo et de la totalité du Japon? 
Aux USA, le plutonium 238 et le plutonium 239 sont apparus à partir du 18 mars: en Californie et à Hawaï, ils furent respectivement 43 fois et 11 fois plus élevés que le niveau maximal répertorié durant les 20 dernières années. En mars, l’eau de boisson de San Francisco contenait 181 fois la dose admissible d’iode 131. Le 4 avril, l’eau de pluie de Boise dans l’Idaho contenait 80 fois la dose admissible d’iode 131 ainsi que du césium 137. En début avril, le taux de césium 137 dans les sols, près de Reno dans le Nevada, était 30 fois supérieur à la dose admissible. Egalement en avril, on a retrouvédans de très nombreuses régions des USA, du césium 134du strontium 89, du strontium 90 et même de l’américium et du curium. Tous ces isotopes radioactifs se sont également déposés en Europe et si on ne les trouve pas, c’est qu’on ne les cherche pas. 
Avant la fin de l’année 2011, tous les sols de la planète seront inexorablement contaminés par l’irradiation quotidienne et permanente des réacteurs de Fukushima. Il en sera de même pour les océans et les nappes phréatiques. C’est alors que les isotopes radioactifs de Fukushima vont entamer un long processus de bioaccumulation en remontant les divers échelons de la chaîne alimentaire. En 2012, la totalité de la chaîne alimentaire planétaire sera radioactive et donc hyper-toxique pour la santé humaine. 
Mais pas de panique! L’alimentation humaine est déjà issue d’un environnement éminemment toxique et l’agriculture chimique moderne constitue, intrinsèquement, une arme de destruction massive de par sa capacité à produire, en masse, des aliments hautement empoisonnés. La mafia globaliste adore la diversité, surtout la nécro-diversité des stratégies d’empoisonnement de l’humanité et de la biosphère. La sainte trinité de leur théologie de l’annihilation se décline comme suit: Cancer, Mutation, Stérilité ou, selon la terminologie usitée dans les nombreux ouvrages du Professeur cancérologue – et lanceur d’alerte - Dominique Belpomme, des pathologies CMR, à savoir Cancérigènes, Mutagènes et Repro-toxiques. 
La troisième guerre mondiale nucléaire, lancée en 1945, s’est dotée de tout un arsenal d’armes génocidaires: 
- Des réacteurs nucléaires. Ils sont au nombre de 450 environ et leur finalité première n’est pas de produire de l’énergie “civile” mais bien plutôt de produire du plutonium à usage militaire. On sait pertinemment, depuis les années 70, que la filière nucléaire n’est pas rentable: elle consomme plus d’énergie qu’elle n’en produit et la facture n’inclut évidemment pas les centaines de milliards de dollars, ou d’euros, liés à la gestion des accidents et des pathologies permanentes qu’elle génère. La finalité primordiale des centrales nucléaires, dans le monde entier, est de produire du plutonium et de l’uranium appauvri à des fins de destruction humaine. (Nous renvoyons les lecteurs à un rapport de la CIA, récemment présenté sur le site de Next-up, qui met parfaitement en exergue les triangulations “au plutonium” entre la France (EDF, Cogema/Areva, CEA), le Japon et les USA. Toutes les centrales nucléaires émettent en permanence de la radioactivité: en termes techniques, elles fuient. De nombreuses études le prouvent. Il n’est que d’étudier la carte des régions où le cancer du sein et le diabète prévalent aux USA: ces régions se situent toutes dans un rayon de 150 km autour d’une centrale nucléaire. Une telle étude comparative serait impossible en France pour la bonne raison qu’il n’existe pas de région qui ne soit pas sous les fuites (et donc sous la déflagration-détonation potentielle) d’une centrale nucléaire! La France est le pays le plus nucléarisé au monde grâce à une entente parfaite entre tous les gouvernements qui se sont succédés (de toutes couleurs politiques confondues) depuis 1956 et le gang nucléaire (EDF, Cogema/Areva, CEA). 
- Des déchets radioactifs. Jusqu’en 1982, ce sont “officiellement” 100 000 tonnes environ qui furent plongées, dans des containers en béton, au plus profond des océans. Mais, en fait, pas si profondément dans la mesure où certains réapparurent, au gré du tsunami de 2006 en Indonésie, pour venir s’échouer sur les côtes de la Somalie, provoquant la mort rapide des pécheurs de ce pays. Quel est l’impact des déchets radioactifs sur la vie marine de la planète Terre? Ni vu, ni connu. Depuis une trentaine d’années, les déchets radioactifs sont “retraités”: mais que l’on se rassure, les fonds de pension nucléaires n’ont pas été engloutis dans le plus grand hold-up financier de l’histoire humaine qui prévaut depuis 2008. Les déchets radioactifs jouissent d’une retraite prospère et paisible dans des ogives nucléaires (il en existe encore quelques dizaines de milliers dans l’air, dans les mers et sur terre), dans le combustible MOX (contenant 7 % de plutonium) des centrales nucléaires de France et du Japon; parfois, ils se baladent sur les routes de l’Europe et parfois même encore ils se prélassent dans des piscines sur les terrasses de certains réacteurs nucléaires. En attendant la Vague! 
- Les bombes à “uranium appauvri”. Elles sont qualifiées de “bombes sales des riches” par Paolo Scampa. Contrairement à ce que la sémantique pourrait laisser entendre, elles constituent des armes terrifiantes de destruction massive. L’opération “humanitaire” en Libye, orchestrée par l’OTAN et les USA – et dont la finalité est de voler le pétrole, l’or et les ressources financières du peuple Libyen (etde déstabiliser la zone) – a déjà lâché des milliers de bombes à uranium appauvri, dites de quatrième génération, sur le territoire Libyen. Les bombes à uranium appauvri ont été utilisées pour la première fois par Israël dans la guerre du Kippour (octobre 1973) contre l’Egypte. Elles furent ensuite utilisées au Liban, par Israël, et en ex-Yougoslavie, en Irak, en Afghanistan et en Libye par les USA et diverses “coalitions” Occidentales. Elles furent également utilisées par Israël à Gaza (enquête de l’associationACDN). Les bombes à uranium appauvri génèrent cancers, mutations et stérilités dans ces pays-mêmes ou chez les militaires participant aux opérations humanitaires. Ainsi, aux USA, une étude a porté sur 631 174 militaires vétérans de l’Irak: 87 590 souffrent de pathologies musculaires et osseuses, 73 154 souffrent de pathologies mentales, 67 743 souffrent de pathologies indéfinissables, 63 002 souffrent de pathologies gastro-intestinales, 61 524 souffrent de pathologies neuronales, etc, etc. Nous convions tous les promoteurs de l’atome civil et nucléaire à consulter les sites internet présentant des photos d’enfants difformes (et c’est un euphémisme) nés en Irak, en Afghanistan, à la suite des guerres humanitaires et libératrices, ou en Ukraine, à la suite de Tchernobyl. Les bombes à “uranium appauvri” libèrent des isotopes dont la demie-durée de vie est de 2,5 milliards d’années, c’est à dire qu’il en subsistera encore dans 24 milliards d’années. 
- Les “essais” nucléaires. Contrairement à ce que la sémantique pourrait laisser entendre, ce sont des explosions en bonne et due forme. Depuis 1945, il y en a eu plus de 2050 dans l’atmosphère et dans le sol. La plus grosse fut de création Russe et sa puissance fut de plus de 3000 fois celle d’Hiroshima. En 1963, voyant que le Président John Kennedy souhaitait faire voter une loi interdisant ces essais atomiques dans la Nature, la clique militariste US en fit exploser 250 en une seule année, à savoir presqu’un par jour. 
- L’agriculture moderne chimique. Cette agriculture recouvre la quasi totalité des pays Occidentaux et une grande partie des pays dits émergents ou en voie d’occidentalisation. Elle utilise des fertilisants de synthèse et toute une panoplie d’armes de guerre – les pesticides – destinées à lutter contre les champignons, les herbes, les insectes, les nématodes, etc, et qui sont qualifiées de fongicides, d’herbicides, d’insecticides, de nématocides, etc. Cette agriculture de guerre, ou agriculture mortifère, produit des aliments-poisons qui génèrent une pléthore de pathologies cancérigènes, mutagènes et repro-toxiques. D’ailleurs, un agronome a autrefois comparé les fertilisants agricoles, de la chimie de synthèse, à des mini bombes atomiques à usage agricole – ou plutôt, sous couvert d’usage agricole, à but génocidaire. L’agriculture moderne chimique a également recours à des semences modifiées génétiquement par Monsanto, et autres multinationales criminelles. Ces semences chimériques, et les récoltes qui en sont issues, peuvent également être considérées comme de mini-bombes qui sèment le chaos dans l’organisme humain et animal ainsi que de nombreuses études récentes l’ont prouvé. 
- L’industrie chimique. En sus de produire des cocktails de poisons pour la “paysannerie”, cette industrie a créé des dizaines et des dizaines de milliers de produits chimiques dont la majorité, pour employer l’expression consacrée, sont de véritables bombes. Certains de ces produits chimiques possèdent des appellations diverses et variées: vaccins, remèdes allopathiques, adjuvants alimentaires, sucres de synthèse, etc, etc. 
- Les technologies de la communication, de la prévention médicale et de la “lutte anti-terroriste”. Dans ce fourre-tout high-tech, nous pourrions mentionner la téléphonie mobile de troisième et de quatrième générations, les systèmes WIFI, les radioscopies à usage médical, les body-scanners dans les aéroports, etc. Nous renvoyons le lecteur à une étude récente du Suisse Daniel Favre sur les pathologies des abeilles issues des interférences électromagnétiques de la téléphonie. 
Pour résumer cette situation génocidaire, les psychopathes déments et criminels ont recours à deux types d’opérations spéciales pour détruire le génome humain et éradiquer une grande partie de l’espèce humaine. La première consiste à générer de la contamination radioactive directe par le biais de technologies nucléaires: essais nucléaires dans l’atmosphère et dans le sol, réacteurs nucléaires civils, réacteurs nucléaires militaires pour la recherche et la production de plutonium, bombes à uranium appauvri et non-gestion des déchets radio-actifs. La seconde consiste à ruiner le système immunitaire par une contamination radioactive indirecte, sournoise et quotidienne: aliments-poisons, vaccins, remèdes allopathiques, téléphonie mobile, etc, etc. 
Et pour couronner le tout, le Codex Alimentarius, créé en décembre 1961 sous l’égide de l’OMS et de la FAO, constitue la cerise, haute en couleur mais létale, sur le gros gâteau nucléaire. On ne peut qu’admirer le raffinement de la stratégie de la mafia globaliste: depuis 1945, le complexe militaro-industriel détruit l’humanité et la biosphère tout en mettant en place une organisation internationale, le Codex Alimentarius, qui est supposée protéger les peuples. Et que fait le Codex Alimentarius pour protéger les peuples: il prend ses ordres des multinationales biocidaires pour imposer les semences chimériques, les fertilisants de synthèse, les pesticides, etc, et pour imposer, à terme, “l’irradiation” (radioactive) de tous les aliments! 
Répétons, une nouvelle fois, que le Codex Alimentarius dépend de l’OMS, une branche du machin Onusien, qui pourrait tout autant s’appeler l’Organisation pour les Mutations et la Stérilité. Rappelons que les mafieux de l’OMS ont signé un traité secret de non-agressivité, en 1959, avec les mafieux de l’AIEA (Agence Internationale de l’Energie Atomique). La capacité de nuire de l’AIEA est grandissime. Ces criminels osent encore parler de quelques dizaines de décès, ou au plus de quelques milliers, à la suite de Tchernobyl, alors que le rapport de l’Académie Nationale des Sciences, paru aux USA en novembre 2009, affirme qu’entre 1986 et 2004, ce sont 950 000 personnes qui sont décédées, dans le monde, des suites de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl. Et nous sommes en 2011. 
L’imposition inexorable du Codex Alimentarius, depuis 1961, va aboutir, à très court terme (c’est demain) à la suppression pure et simple de tous les compléments alimentaires et de toutes les plantes médicinales qui permettent à l’humanité de se protéger, ou de se soigner, des effets destructeurs de la radioactivité ou de toute autre forme de pollution agricole, médicale ou industrielle. L’interdiction de ces substances entraînera, faut-il le préciser, la suppression de la majorité des alternatives médicales, et c’est bien sûr ce que souhaite l’OMS totalitaire qui tente, depuis des dizaines d’années, de criminaliser toutes ces thérapies dites alternatives. L’OMS préfère promouvoir, pour traiter le cancer qui est devenu “épidémique”, la chimiothérapie et la radioactivité: on vit une époque formidable. 
La boucle est bouclée. La mafia globaliste empoisonne l’humanité et, par le biais du Nécro-Codex Alimentarius, l’empêche de se soigner avec des thérapies alternatives et naturelles. Cela fait de nombreuses années que nous avons lancé l’alarme mais cela roupille dans les chaumières. Le Canada a déjà fait passer son décret C 51. Deux états des USA viennent de faire passer des lois criminalisant toutes les thérapies alternatives. La semaine passée, dans l’Oregon, la FDA (le Ministère de l’agriculture et de la santé aux USA) a lancé un raid, protégé sur ses arrières par 80 policiers lourdement armés, sur une petite société en activités depuis plus de 20 ans, Maxam Nutraceutics, produisant des “compléments alimentaires” pour soigner l’autisme (devenu endémique aux USA et en Europe grâce à la pollution radioactive et aux vaccins au mercure). Quant à l’Union Européenne, fidèle à ses fondement totalitaires et anti-démocratiques, elle se moque éperdument des peuples et roule pour les multinationales et le gang nucléaire: sous peu, elle aura fait passer à la trappe tous les compléments alimentaires et toutes les plantes médicinales, de même que toutes les préparations naturelles utilisées par les techniques d’agro-écologie. Et c’est cette même Union Européenne qui vient de multiplier les doses admissibles de radioactivité, dans les aliments, de 20 fois sous prétexte qu’il vaut mieux consommer des aliments radioactifs plutôt que de faire face à des pénuries alimentaires. 
Le seuil minimal de radioactivité est une vaste escroquerie scientifique. Rappelons que, selon les experts en endocrinologie, il n’existe pas de dose minimale de contamination radioactive et que, de plus, les contaminations provoquées par de faibles doses sont souvent plus destructrices, pour le foetus humain, que les contaminations provoquées par de fortes doses. 
Que faire? Dans un premier temps, mettre en place des techniques de décontamination des sols. Après Tchernobyl, il était interdit de vendre des fromages en Autriche; cependant, on s’aperçut rapidement que les fromages produits par des agriculteurs bios utilisant, depuis de nombreuses années, des apports de roches volcaniques (les zéolites) étaient strictement exempts de radioactivité. En effet, toutes les roches volcaniques de la famille des zéolites sont réputées pour leur capacité de bloquer les métaux lourds et les particules radioactives. Le futur de l’humanité passera par l’agriculture écologique. En effet, la première ligne de défense, à l’encontre des métaux lourds et de la radioactivité, c’est une vie microbienne prospère dans les sols et la présence d’humus et d’oligoéléments indispensables à la nutrition harmonieuse des plantes. Cette première ligne de défense est strictement absente dans la majorité des sols Européens qui sont morts, stérilisés, oxydés et dont les produits alimentaires ne font que générer, dans le corps humain, des radicaux libres facteurs de dégénérescence. 
Il existe également des techniques de décontamination ayant recours à des champignons ou à des plantes pour “fixer” la radioactivité. Il n’est pas aisé de transformer un jardin ou un champ en champignonnière mais, par contre, il est beaucoup plus facile d’y planter des espèces végétales telles que le tournesol et le chanvre/cannabis. Certaines études ont mis en valeur que ces deux espèces végétales avaient été utilisées avec succès à la suite du désastre de Tchernobyl. La question reste de savoir comment recycler les plantes de décontamination. On pourrait proposer d’en organiser des collectes qui seraient expédiées vers l’Elysée ou vers les sièges d’EDF ou d’Areva. Le grand avantage du chanvre/cannabis, en tant que plante décontaminante, c’est qu’il permet aussi de confectionner des cordages très solides! 
Car franchement, les peuples de la Terre en auront bien besoin de ces cordes le jour où ils érigeront des Tribunaux Planétaires pour juger tous les psychopathes et sociopathes, et les crapules en tous genres, qui ont transformé cette belle planète en une poubelle toxique et radioactive. 
En effet, la première phase de décontamination serait, en toute logique, une phase de décontamination du tissu social car il ne sert à rien de décontaminer la biosphère si les prédateurs militaro-industriels continuent de l’empoisonner avec entrain. La décontamination du tissu social est un impératif urgent si l’on veut aider l’espèce humaine à passer le cap de cette extinction présente. Les prédateurs militaro-industriels doivent être neutralisés par tous les moyens imaginables. C’est alors qu’il sera possible de stopper toutes les centrales nucléaires, d’interdire l’agriculture chimique, de condamner toutes les multinationales biocidaires, d’éliminer toute la presse globaliste, de mettre fin au hold-up financier… 
En bref, il nous faut promouvoir une insoumission totale aux Autorités qui fonctionnent dans un vide intégral d’autorité morale et spirituelle, le Nouvel Ordre Mondial. Lorsque leurs valets d’Etat seront neutralisés, les multinationales s’effondreront car elles ne subsistent que grâce à la corruption généralisée. 
C’est cette corruption qui permet à TEPCO, au gouvernement Japonais et aux diverses Autorités Occidentales de mentir effrontément en prétendant que la situation à Fukushima est stabilisée et qu’il n’existe aucun danger radioactif pour les peuples de la planète qui sont maintenus, de force, dans l’ignorance la plus crasse. En France, qu’en est-il des ONGs auto-déclarées anti-nucléaires? Le Réseau Sortir du Nucléaire renvoie ses lecteurs vers le New-York Times pour des infos sur le statut des “réacteurs endommagés” de Fukushima. Soyons sérieux, les réacteurs ne sont pas endommagés, ils sont détruits et il serait plus authentique d’orienter les lecteurs anglophones vers des blogs dédiés à cette problématique plutôt que vers la grande presse US. On en viendrait presque à se demander pour qui roule le Réseau Sortir du Nucléaire depuis qu’ils en ont éjecté Stephan Lhomme qui vient de créer son propre Observatoire du Nucléaire. Quant à Greenpeace, les platitudes, sur son site, concernant Fukushima, sont pathétiques: la transcription des communiqués du gouvernement Japonais ne constitue pas de l’information, c’est de l’intox. Rappelons que Greenpeace, tout autant que le Réseau Sortir du Nucléaire, ont cautionné l’immense farce du Grenelle de l’Environnement, ce qui est déjà tout un non-programme nucléaire! 
C’est en fait l’Association Next-up qui tente le plus sérieusement de présenter des informations, au jour le jour, en France. Nous conseillons aux lecteurs, également, le site de Jean-Pierre Petit dont les dossiers techniques et scientifiques sont toujours magnifiquement étayés. Quant à la Criirad, elle n’a pas présenté de nouvelles récentes depuis son communiqué du 12 avril. On conçoit aisément qu’il n’est pas facile pour de petites associations, sans moyens financiers, de tenter de percer le mur opaque du secret qui a été érigé autour de la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi: ce n’est pas un sarcophage de béton qui a été érigé autour des réacteurs de Fukushima, c’est un sarcophage quasi-impénétrable de mensonges et d’intox. Qui a évoqué la forte probabilité qu’une explosion nucléaire, et non pas une explosion à l’hydrogène, a eu lieu dans le réacteur 3? Personne à part quelques physicienss ou ingénieurs nucléaires qui ne pratiquent pas la langue de bois: Leuren MoretArnie GundersonChris Busby… Et aujourd’hui, 29 avril, le professeur Toshiso Kosako, mandaté par le gouvernement Japonais le 16 mars en tant que conseiller spécial nucléaire, vient d’annoncer sa démission, les larmes aux yeux, parce que, dit-il, «le premier ministre a ignoré les lois». Mais peut-être ne les connait-il pas? 
La finalité de ce court article n’est pas de fomenter la peur ou la dépression: elle est de promouvoir la mise en place de techniques de dépollution et d’encourager les peuples à déclarer ouverte la chasse aux prédateurs militaro-industriels, la source toxique de tous leurs maux. 
La crise de Fukushima, et la contamination subséquente de l’intégralité de la chaîne alimentaire planétaire, constituent une nouvelle invitation à oeuvrer en co-évolution avec la Terre-Mère. Il ne reste que peu de temps. 
Dominique Guillet. Le 29 avril 2011. 

Depuis 1999, l’Association Kokopelli lutte pour la Libération des Semences et de l’Humus. Nous nous engageons, présentement, à faire des recherches et à établir des protocoles au bénéfice des jardiniers afin de les aider à vivre et àcontinuer de jardiner dans un monde contaminé par la radioactivité. Toutes nos fiches techniques seront présentées sur le site ou sur le blog de l’association. 

3 articles sur une nouvelle solution pour produire votre énergie sans pollution

Article 1 :

Le procédé que je vais vous faire découvrir s’appelle E-Cat. Il s’apparente aux transmutations à basse température. Il faut obtenir au départ une température de 150 à 500°C : mais, croyez-le ou non, c’est encore une très basse température, surtout s’il s’agit de phénomène nucléaire.

(A Cadarache, dans un projet insensé, on tente de faire une fusion avec 100 millions de degrés au départ : coûteuse utopie, qui ne fonctionnera jamais).

Ici, par contre, nous sommes dans la vraie vie :

Il s’agit de mettre en présence 50 grammes de poudre de nickel chauffée à 300°C (par l’électricité du secteur pour démarrer la réaction, mais l’appareil tournera ensuite en auto-suffisance) et de l’hydrogène, sous une pression de 2 à 20 bars, qui provient d’un réservoir incorporé au E-cat, en présence d’un catalyseur secret.

Cette réaction produit une énorme quantité de chaleur, avec un COP de 40 ou plus (coefficient de performance, rapport entre l’énergie récupérée et l’énergie injectée ).

Vous donnez 1 kilowatt à l’entrée, vous récupérez 40 kw à la sortie.

Les appareils commercialisés produiront de 10 à 30 kw/h, largement suffisants pour alimenter une habitation ou une petite voiture. On peut les accoupler pour faire des centrales, ce qui pourrait donner un recyclage à nos centrales nucléaires, qui ne sont jamais que des machines à vapeur sales. Mais là, c’est propre, sans résidu radio-actif, et sûr : ça s’arrête en quelques minutes.

La réaction produit des rayons alpha et gamma (gamma d’énergie inférieure à 300 keV).

Ce qui prouve qu’une réaction nucléaire est à l’œuvre.

Mais un blindage de plomb de 50 kg sur 2 cm d’épaisseur (soit un volume de 4 litres environ) les arrêterait et l’appareil en fonctionnement n’émettrait ni neutrons ni protons.

Quelques heures après l’arrêt, il n’y aurait plus de rayonnement ni de déchets radioactifs, même au centre du réacteur. Le “combustible” et les déchets ne seraient pas radioactifs. La radioactivité de l’eau chauffée ne serait pas modifiée.

En cas d’emballement du réacteur, un excès de production de chaleur réduirait l’efficacité de la réaction et tendrait à limiter cet excès. De plus, dans ce cas, le système de sécurité activerait le préchauffage auxiliaire pour renforcer cette limitation.

Lors de la maintenance, tous les 6 mois, le nickel serait recyclé et le petit réservoir d’hydrogène à 160 bars (quelques litres) remplacé. Au bout de 2,5 mois d’utilisation, le nickel contient environ 10 % de cuivre (isotopes 63 et 65) et 11 % de fer.

Vous devez y voir la preuve d’une transmutation du nickel en fer et en cuivre, et donc la preuve que la transmutation à basse température est possible.

Le nickel est abondant sur Terre et n’est pas cher.

« Si toute l’énergie consommée par les humains était produite ainsi, un pourcentage infime [10%] de l’extraction annuelle de nickel y suffirait »

Le E-cat est entièrement recyclable après une durée de vie de 15 à 20 ans, le nickel l’est à 80% environ.

Vous pouvez vous offrir 50 grammes de Nickel (20 Euros le kilo : une dose coûte donc un euro) et quelques litres d’hydrogène tous les six mois ? Alors vous aurez bientôt accès à cette énergie quasi illimitée, qui ne produit pas de CO2, pas de particules radioactives, et dont les rares rayonnements sont facilement arrêtables avec quelques kilos de plomb.

J’ai résumé pour vous cet article trouvé sur Wikipédia. Vous y aurez de plus amples détails, et en sortirez convaincus.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Catalyseur_d%27%C3%A9nergie_de_Rossi_et_Focardi

Notez que les expériences sont tout à fait actuelles, et suivez l’actualité de cette révolution technologique jour après jour. La commercialisation semble en cours.

Alors, cessez de vous tourmenter avec le nucléaire et ces pseudos trouvailles que sont le photovoltaïque et l’éolien : c’est du passé, c’est périmé. La question du CO2 ne se pose plus, et les écolos vont devoir trouver un autre dada. Charbon, pétrole, nucléaire, au musée : à terme, zéro pollution.

Nous allons vivre une ère nouvelle, et on va cesser de nous casser les oreilles avec l’énergie rare, la pollution, et tous ces concepts d’un autre âge.

Cela pose de gros problèmes : les sociétés pétrolières, les pays de l’OPEP, peuvent passer de l’opulence à la misère. L’Etat doit se trouver d’autres taxes. La production automobile doit se convertir à l’électricité. Les transports maritimes verront le retour des machines à vapeur ! Les trains auront le choix : électricité ou vapeur directement. Attendons-nous à quelques freins, donc.

Mais avec cette énergie quasi gratuite, quasi illimitée, on peut tout envisager : dessaler l’eau de mer et voir fleurir les déserts, faire disparaitre toute misère sur terre.

Un autre point important : tant que les intérêts pétroliers et nucléaires dominent (dominaient ?) la planète, de nombreux brevets du même ordre ont été confisqués ; il y a en effet de nombreux moyens de produire proprement de l’énergie gratuite. On peut s’attendre à les voir resurgir, dès lors qu’il sera plus rentable de les commercialiser que de les tenir secrets.


Article 2 :

E-cat : se chauffer pour 20 EUR par an dès 2013

Si tout se passe bien, vous devriez bientôt pouvoir adjoindre à votre chauffage central actuel un dispositif révolutionnaire de 400 à 500 dollars / euros vous permettant de chauffer votre maison avec une simple cartouche recyclable à base de poudre de nickel, pour moins de 20 dollars/euros par an.

Jusqu’il y a peu le prix du dispositif avait été estimé à 4000 dollars. Grâce à la volonté de son concepteur, l’ingénieur Andrea Rossi (1950), au partenariat industriel avec National Instruments aux Etats-Unis, et une fabrication hautement automatisée, le prix a été divisé par dix, de façon à couper l’herbe sous le pied des copies par retro-engineering qui ne manqueront pas d’apparaître une fois le système lancé à grande échelle. Objectif : 1 million d'unités domestiques par an à partir de début 2013. (*)
De la taille d’un ordinateur portable (le processeur a la taille d’un paquet de cigarettes) et d’une sécurité annoncée comme totale, ce système révolutionnaire dit de réaction nucléaire à basse énergie n’émet selon Rossi (et le professeur Focardi de l’université de Bologne) aucune radiation ni émission d’aucune sorte.
Le nickel est abondant sur Terre et n'est pas cher, mais il est toxique, surtout en poudre, et son traitement doit être fait par des professionnels. La quantité de nickel consommée dans le processus est extrêmement réduite. Pour fixer les idées, selon Andrea Rossi, un gramme permet de produire 23.000 mégawatt heure d’énergie (oui : vingt trois mille mégawatt heure).
L’E-cat est un système thermique révolutionnaire qui utilise de la poudre de nickel, une quantité infime d’hydrogène, un ou des catalyseurs spécifiques, de même que des radiofréquences permettant de faire travailler les forces de répulsion (Coulomb) entre particules subatomiques de façon avantageuse, un peu à l’image de ce qui se passe dans les arts martiaux orientaux.
Au lancement, le processus de préchauffage du système consomme 3000 watt pendant une heure. Puis, une fois lancé, la consommation électrique devient insignifiante, comme celle d’un ordinateur, tout en produisant une quantité extraordinaire d’énergie thermique, permettant de chauffer de l’eau de façon stable et contrôlée à 120°C. Le système peut être complètement arrêté en 30 à 60 minutes.
L’E-cat est en cours de certification aux Etats-Unis par UL (Underwriters Laboratories). Une usine entièrement robotisée serait en voie de construction, semble-t-il au Massachussetts, avec National Instruments comme partenaire industriel.
A terme (12-24 mois ?), le système pourra également produire de l’électricité, une fois surmontées les difficultés de maintien de la température à 400°C (plutôt que 120°C actuellement).
La distribution et la vente se fera via des partenaires agréés, de même que par Internet. Les précommandes, sans engagement financier, peuvent être faites via le site Ecat.com dès maintenant.
Etant donné les risques inhérents à ce type de projet industriel d’avant-garde, Andrea Rossi ne souhaite pas à ce stade ouvrir le capital à des investisseurs particuliers, n’acceptant le soutien que de milieux d’affaires et d’organisations souhaitant investir de faibles sommes d’argent.
En guise de conclusion, ces réflexions de Brian Josephson, prix Nobel de physique 1973 : « A ce jour, rien ne permet de douter des affirmations de Rossi  » et « des réacteurs de type Rossi sont déjà en production et selon Dennis M. Bushnell, Scientifique en chef de la NASA, ils pourraient "changer complètement la géo-économie, la géo-politique et résoudre [des problèmes] de climat et d'énergie". » (lien).
En cas de confirmation, il semble que nous soyons bel et bien en présence d'un changement de paradigme en matière d'énergie. Probablement comparable à la découverte de la roue ou du feu. 
A titre de comparaison, le projet internatinal de fusion (très) chaude ITER à Cadarache (France) dont onespère, à coup de dizaines de milliards d'euros d'argent public, pouvoir extraire les premiers kilowatts dans cinquante ans ou plus et dont on connaît mieux aujourd'hui le caractère hautement aléatoire et non raisonnable (voir l'article publié le 13/01/12 sur Mediapart : "Iter, le naufrage"), ... peut aller se rhabiller et surtout se réorienter vers un projet plus utile pour la société.

(*) Andrea Rossi travaille 14 à 16 heures par jour sur ce projet et l'interview dont est issu cet article a été réalisée le 15 janvier 2012 au terme d'une telle journée, entre 11 du soir et 1 heure du matin. Chapeau l'artiste ! Et tous nos voeux de succès.

Sources pour cet article :L’interview d’Andrea Rossi le 15 janvier par le journaliste scientifique Sterling Allan (Pure Energy Systems News). Résumé en anglais ici. Transcription de l’interview en anglais ici.
Catalyseur d'énegie de Rossi et Focardi (Wikipedia)

Pour en savoir plus :
L’E-cat a déjà été présenté sur Agoravox le 22/12/11 (lien) et le 29/10/11 (lien), au lendemain de la démonstration semi-publique décisive à Bologne, d’un générateur E-cat industriel de 1 mégawatt.
Publications scientifiques (en anglais)
A detailed Qualitative Approach to the Cold Fusion Nuclear Reactions of H/Ni , Prof. Christos E. Stremmenos, Journal of Nuclear Physics, Mai 2011
Report on heat production during preliminary tests on the Rossi “Ni-H” reactor, Levi G., Université de Bologne, Italie, Janvier 2011
Hydrogen/Nickel cold fusion probable mechanism, Prof. Christos E. Stremmenos, Bologne Italie, Journal of Nuclear Physics, Décembre 2010
A new energy source from nuclear fusion, Focardi S. & Rossi A., Université de Bologne, Italie, Mars 2010,

Article 3 :

L’image que vous êtes en train de regarder représente de façon extraordinaire, bien que de façon fort simple, ce que l’E-cat peut vouloir dire dans la vie de tous les jours.
L’E-cat est une sorte de boîte noire (dans ce cas une « boîte rouge », une boîte noire mystérieuse, contentant en son sein un mélange de nickel, d’hydrogène et uncatalyseur (secret) générant une réaction capable de produire une certaine quantité de chaleur qui, à son tour, réussit à porter à ébullition l’eau qui y transite.
Mais que faire de cette énergie, de cette chaleur ? Voyons-le.
Le résultat immédiat est celui d’obtenir de la chaleur et de pouvoir, par exemple, la diriger, entièrement ou en partie, dans notre équipement de chauffage. Notrechauffe-eau traditionnel pourra parfaitement être remplacé par un E-cat.
Nous pourrions utiliser la chaleur produite pour alimenter un générateur (par ex. unStirling ou une turbine à vapeur ou, comme l’a également dit Rossi en personne, unCarnot) qui, uni à un alternateur, pourra nous fournir de l’électricité plus que suffisante (au moins 4-5 Kw) pour alimenter tous nos appareils ménagersen offrant donc la possibilité à chaque usager de s’affranchir d’un seul coup des actuels fournisseurs d’énergie (gaz et électricité), ce qui serait pour eux synonyme d’H-écat-ombe !!!!
Fantastique, non ?
Fantastique, sans aucun doute, mais réfléchissons un instant sur ce dernier paragraphe. Il contient en soi une myriade d’implications au lourd impact économique, politique et social, et cela au niveau planétaire. Nous sommes sur les bords d’un cratère qui, dans de brefs délais, pourrait déchaîner une éruption aux proportions bibliques.
Mais ce n’est pas tout… oyez, oyez!
Le coût du combustible, nécessaire pour faire fonctionner cette « machine infernale » s’élève à quelques euros par an, de l’ordre de 100€/an
Uhmmm… 100€/an, plus ou moins, pour avoir du chauffage et l’énergie, le tout sansproduction ni déchetsans aucun type d’émission nuisible, donc un dispositif totalement 100% éco-compatible! Incroyable ?
Mais qui se cache donc derrière l’E-cat ?
Son concepteur est l’Ing. Andrea Rossi. La réalisation de ce dispositif a eu lieu au sein de la Leonardo Corporation, une société dont le siège se trouve aux USA,appartenant justement à l’Ing. Rossi. L’Ing. a bénéficié de la collaboration d’experts, en premier lieu de celle du Prof. Sergio Focardi, qui ont permis la mise au point de ce dispositif utilisé lors de tests publics (et privés) effectués courant 2011.
(à suivre…)

La Crise OUI.... mais pas pour tous évidement

Excellent article du 13 avril 2012 lu sur AlterInfo.Org


La compagnie pétrolière Exxon Mobil était la plus grosse entreprise au monde en 2000 mais aussi la 45e entité économique la plus importante devant le Pakistan ou le Pérou. Extrait d’un classement des Nations Unies qui a pris en compte la valeur ajoutée. 
Des entreprises multinationales plus riches que des pays 
L’Expansion.com - publié le 13/08/2002 à 16:56 
ExxonMobil ou General Motors sont, au plan économique, plus importantes que des pays tels que le Pakistan ou le Perou. Ce constat émane d’un classement effectué par la Conférence des Nations Unies pour le Commerce et le Développement (CNUCED), organe rattaché à l’ONU, qui recense les cent entités économiques les plus importantes du monde pour l’année 2000, pays et entreprises confondues. Ces dernières trustant vingt-neuf places sur cent. La première entreprise multinationale, la compagnie pétrolière américaine ExxonMobil, apparaît au 45erang juste derrière le Chili et devant le Pakistan. Le Nigeria se positionne en 57eplace entre le groupe automobile Daimler Chrysler et Général Electric. 
L’intérêt de ce classement est d’utiliser un instrument de mesure commun. Alors que la taille des entreprises est habituellement représentée par son chiffre d’affaires, la CNUCED s’est basée sur la valeur ajouté créée par les entreprises, à savoir la somme des bénéfices avant impôt, des salaires, des amortissements et moins value pour l’année 2000. Ce qui permet de les rapprocher du critère de Produit Intérieur Brut, en vigueur pour les nations, et qui représente lui aussi la valeur ajoutée produite. Ainsi, les Etats-Unis se placent sans surprise en tête avec un PIB de 9000 milliards de dollars, soit plus du double de celui du Japon qui occupe la 2e place de la liste. La France étant cinquième avec un PIB de 1294 milliards de dollars. La première entreprise, ExxonMobil, affiche une valeur ajoutée de 63 milliards de dollars contre les 62 milliards de PIB enregistré par le Pakistan. 
D’autre part, selon les conclusions de l’étude la valeur ajoutée des cent plus grosses entreprises a augmenté plus rapidement que le PIB des pays. L’importance de ces entreprises est donc de plus en plus grande. 
Les géants américains pèsent plus que les Etats 
Franck Dedieu - publié le 01/04/2009 
En réalité, la puissance économique des multinationales est loin de rivaliser avec celle des nations les plus riches. 
Exxon, Coca-Cola, Microsoft et consorts aligneraient une puissance économique supérieure à celle des Etats. Dans la mythologie altermondialiste, cette idée occupe une place de choix. 
Une simple comparaison entre les puissances privées et les puissances publiques oblige à revoir légèrement ce discours pourtant bien rodé. La compagnie pétrolière Exxon, n° 1 mondial toutes catégories, devrait annoncer en 2009 un résultat d’exploitation de 58 milliards de dollars, selon les prévisions des analystes financiers. Pour le comparer au produit intérieur brut des pays (leur richesse nationale), il faut ajouter à cette somme la masse salariale distribuée par le groupe. Soit, grosso modo, multiplier ce résultat par deux. Le « PIB » de la compagnie ressort donc à quelque 115 milliards. Au classement des nations, l’« Etat Exxon » n’occuperait ainsi que la cinquante-huitième place mondiale, entre la Nouvelle-Zélande (PIB : 132 milliards) et la Libye (113 milliards). Le géant de la communication AT&T arriverait au niveau du Bangladesh. Le distributeur Wal-Mart ne pourrait se comparer qu’à la Slovénie, et Coca-Cola, qu’à la petite Guinée équatoriale. 
Pas de naïveté, cependant : que les 302 660 employés d’AT&T produisent autant que les 154 millions de Bangladais en dit long sur la force de frappe de l’entreprise américaine - ou sur la faiblesse de cette partie du monde. Mais pas de théorie du complot non plus : Microsoft - accusé de coloniser les ordinateurs avec ses logiciels - pèse « à peine » le douzième de la Pologne. 
Au-delà des chiffres, il faut constater aussi que, à l’heure de la crise mondialisée, la puissance publique fait son grand retour, et que des compagnies multinationales américaines viennent de solliciter l’aide des Etats souverains. Sitôt élu président de la Bolivie, en 2006, Evo Morales, suivant l’exemple de son voisin vénézuélien Hugo Chavez, nationalisait par décret les hydrocarbures du pays, au grand dam d’Exxon et de Total. « La prédominance des multinationales américaines est au coeur d’une contestation internationale permanente [...] notamment par l’organisation de manifestations et de contre-sommets », relèvent Pascal Boniface et Charlotte Lepri, les auteurs de 50 idées reçues sur les Etats-Unis (1). 
Dans le secteur financier, les Etats étrangers n’ont même plus besoin de contester la puissance des multinationales de l’Oncle Sam. Les banques américaines réclament elles-mêmes de l’aide. Fin 2007, Citigroup, aux abois, tendait la main au fonds souverain d’Abu Dhabi pour recueillir 7,5 milliards de dollars. Au même moment, Temasek Holdings, le bras financier de Singapour, accordait 4,4 milliards de dollars à la banque de Wall Street Merrill Lynch, en manque d’argent frais. Et si demain ces banques multinationales se relèvent, elles devront composer avec leurs actionnaires publics étrangers. 
 
http://lexpansion.lexpress.fr/econo... 
http://www.geopolintel.fr 

LES DANGERS DE LA CONSOMMATION

Origine : AlterInfo.Org du 16 avril 2012


Depuis les années 70 et encore plus depuis 2001, le modèle de nos sociétés se base sur un système capitaliste prônant la consommation. Nous atteignons peu à peu les limites de la planète, mais également les limites de notre économie, et tout ça au péril de la population mondiale. Si vous pensez que la société de consommation est le summum de l'évolution, alors, vous devez ignorer que 20% de la population consomme 80% des ressources de la planete. 

Avec la mondialisation, chaque pays développé a accès à un ensemble de ressources provenant des quatre coins du globe. Ce qui veut dire qu'il y a exploitation aux quatre coins du globe. Étant dans une logique de consommation à l'extrême, (acheter des produits qui ne sont pas de saison, acheter des produits qui viennent d'ailleurs, choix impressionnant que nous offrent les supermarchés) nous devons consommer les ressources de la planète à l'extrême, or ces ressources sont dans des quantités limitées. Ceci se traduit dans de nombreux domaines, quelques exemples : L'exploitation excessive des thons menace leur espèce, nous pourrions les voir disparaître. Depuis 40 ans, l'Amazonie, la plus grande forêt du monde a perdu 45% de sa superficie, dans 15 ans on estime qu'elle sera réduite de 65% par rapport à sa taille initiale, ceci engendre également le déplacement des écosystèmes dû à la destruction de leurs environnements, 40% de l'eau au USA est devenue non potable, notre dépendance aux hydrocarbures et du fait de sa rareté nous a amené à des conflits géopolitiques d'une extrême importance. On estime que depuis ces 3 dernières décennies, un tiers des ressources de la terre ont été consommées. 

De plus, ces exploitations sont quasiment toujours effectuées dans des pays les moins développés. Or, quasiment tous les bénéfices de ces exploitations sont récupérés par des entreprises de pays développés. Le pays contenant les ressources ne perçoit qu'une infime partie de ces bénéfices, ceci nuit énormément aux développements économiques de ces régions. La plupart des pays ayant résisté se sont fait renverser ou du moins ont faillit l’être, exemple : l'Égypte de Nasser, l'indépendance de l'Iran dans les années 70, La prise de l'indépendance de la Libye dans les années 60 (voir : le secret des sept sœurs partie 1). Pour information, la Libye était un des pays des plus pauvres d'Afrique avant les années 50, c'est à dire avant la découverte de champs de pétroles et de mines d'uraniums, Maintenant, c'est l'un des plus riches. 
Lorsque que ces ressources ont été extraites, elles sont conduites dans des zones de productions (Ex : usine) qui se situent généralement dans les pays du tiers monde du fait de la main d’œuvre très bon marché. Ces zones de productions délocalisées proviennent toujours des pays développés causant au passage du chômage. Elles ont choisi de se délocaliser pas pour aider la croissance économique dans ce pays, non! Uniquement pour faire PLUS de bénéfices, pour être moins contrôlées sur les problèmes sanitaires et sociaux. Les personnes travaillant dans ces usines sont exposées toute la journée à des produits hautement toxiques qui engendrent de nombreuses maladies (cancer, asthme, stérilité,...) comme ces usines (extractions et productions) détruisent peu à peu l'environnement écologique mais aussi social, beaucoup de personnes n'ont pas d'autre choix que de se restreindre à y aller travailler pour un salaire de misère. (Ex : chine) 
On utilise beaucoup d’énergie pour introduire des produits chimiques toxiques dans ces ressources naturelles, pour en faire des produits contaminés. (Ex : nombre incroyable de traitements utilisés dans l'alimentaire). On estime que 100 000 produits synthétiques circulent dans le marché. Une poignée seulement a été testée pour leurs effets sur la santé mais aucun n'a été testé pour leurs effets synergiques, c'est à dire l'interaction entre tous les produits chimiques exposés. Nous ne savons quel est l'effet direct sur la santé ou l'environnement de ces produits, mais nous savons une chose: tant que l'on utilisera des produits chimiques pour la fabrication alors ces produits seront nocifs. "Rien ne se perd, rien ne se créée tout se transforme". Tout ce qui ressort de ces usines pollue énormément l'environnement (gaz, déchet, liquide toxique,...). Au USA, les usines admettent émettre 4 millions de tonnes de produits chimiques toxiques par an. Toutes ces toxines s'accumulent dans notre corps petit à petit provoquant occasionnellement des cancers. L’endroit où cette toxicité est la plus concentrée est le lait maternel. A cause de ça, nous infectons à notre insu les plus fragiles d'entre nous. Cette utilisation de produits chimiques toxiques est d'autant plus dangereuses lorsqu'elle est utilisé dans l'agroalimentaire. En effet, depuis les années 50 notre utilisation de produits chimiques comme les insecticides ou pesticides a été multiplié par 400. Nous utilisons 400 millions de tonnes de produits chimiques toxiques par an. Parallèlement, le nombre de cancer a doublé et le nombre de maladies neurodégénératives a explosé. De nombreuses études mettent en avant le fait que lorsque l'on au contact jour après jour de ces produits, nos risques de contracter ce genre de maladies augmentent considérablement. Les premiers touchés sont les agriculteurs qui sont en contact direct avec ces produits, mais aussi les consommateurs qui sont quotidiennement en contact indirect avec des micros restes de ces produits. Il est vital de faire très attention à ce que l'on consomme. 

Nous en venons à la distribution. Si l'on considère que chaque personne ayant travaillé pour l'élaboration d'un produit doit être payée à la hauteur de sa contribution, les prix seront nettement plus importants, logique, non? Or ce n'est pas le cas! Pour un produit, les matériaux nécessaires pour la fabrication viennent de plusieurs pays différents (Afrique du sud pour le métal), pour l'assemblage (Fabriqué en chine par des personnes de 15 ans travaillant pour une misère), pour le transport (pétrole pompé en Irak). Si les entreprises veulent garder ce système, elles doivent en toute logique externaliser les prix, c'est à dire, faire des économies sur toute la chaîne de production. Ceci entraînant toutes ces crises écologiques et sociales citées précédemment. 

Maintenant, venons en à la consommation. La consommation est la clef de voûte de ce système, si on arrête cette consommation non vitale excessive, alors ce système s'effondre. Savez vous quelle est la part du budget du marketing par rapport à celle de l'économie mondiale? 5%, soit 500 milliards d'euro par an. 20% de cette somme suffirait à recouvrir la dette de la France et 5% à éradiquer la faim dans le monde. Ils se doivent de nous faire consommer à l'excès pour le maintenir. Nous sommes bombardés en moyenne par 3 000 pub par jour (audio, vidéo, panneaux d'affichages). De plus, tous nos produits de consommation sont faits pour devenir obsolète. Soit à cause de leur durée de vie très limitée (ce qui est voulu bien sûr) soit par l'obsolescence perçue. C'est à dire, que tout est fait pour que l'on pense que ce que l'on a acheté il y a quelque temps devienne "démodé". Le bon consommateur doit acheter ce qui vient de sortir. Qui nous persuade de ça? Les médias et la pub. 

A l'heure actuelle, 90% de ce que l'on consomme part à la poubelle dans les 6 mois. Sur ce qui part à la poubelle, un tiers est envoyé à la déchetterie, un tiers à des usines d'incinération et le dernier tiers est recyclé. Que deviennent les déchets allant à la déchetterie et aux usines? Quel est l'impact écologique sur notre planète? 
Dans une déchetterie, on essaye généralement de récupérer des pièces mais tout n'est pas récupérable. Le reste est - ou envoyé dans des endroits loin des lieux de consommation souvent dans des pays du tiers monde, qui créeront par la suite une très forte dégradation environnementale et culturelle dans ces zones- ou enfoui sous terre pouvant la contaminer. Cette accumulation de déchets a provoqué depuis quelques années l'apparition de deux gigantesques îles de déchets dans le Pacifique. Ces îles ont des conséquences catastrophiques pour l'écosystème maritime. 


Depuis 1976, la France a recours à des usines pour incinérer ses déchets. Pour une tonne de déchet, on obtient 3 kg de cendres, 297kg de matière non incinérable plus 700 kg de fumée. Cette fumée est concentrée en dioxine à 3% mais aussi avec du CO2 qui accentue le réchauffement climatique et également avec de l'oxyde d'azote, souffre et métaux lourd provoquant des pluies acides. 
Les dioxines sont des molécules cancérigènes et toxiques. Lorsque ces dioxines retombent au sol, elles touchent : notre agriculture, notre bétail, notre population. Des études ont estimé que les dioxines augmentent de 13% le risque de contracter un cancer. 
http://www.inrs.fr/inrs-pub/inrs01.nsf/IntranetObject-accesParReference/Pdf%20FAR11/$File/FAR11.pdf. 
Cette gestion des déchets est faite à grande échelle, à l'échelle mondiale, ce qui est d'autant plus important. 

Ce système de production est linéaire. Il commence par l'extraction, puis l'exploitation, la distribution, la consommation et enfin la destruction. Comme ce système est linéaire, que notre planète est en surexploitation et qu'elle possède des ressources finies, nous allons assister à une crise écologique majeure si nous ne diminuons pas drastiquement notre consommation. Tout au long de la chaîne, nous subissons des problèmes environnementaux, sociologiques et culturels. MAIS QUE FONT NOS GOUVERNEMENTS? Je croyais que la définition de la démocratie était : fait par le peuple, pour le peuple. Comment en sommes-nous arrivés là? 

L’avènement de la surconsommation et de l’ultralibéralisme est arrivé à des époques différentes suivant l’endroit où l’on se trouve sur la planète. C’est Milton Friedman et ses Chicago boys qui ont initié ceci. En effet, ils ont remarqué que lorsque qu’un pays/ un peuple/ un individu est soumis à un état de choc, le sujet perd tout ses repères. Dès lors, il est possible d’instaurer ce type de société ultralibérale. Exemples : les coups d’états au chili et argentine ont permis d’instaurer un système économique ultralibéral, lors des attentas du 11 septembre, le maitre mot a été la consommation. Cette stratégie du choc a également été utilisée pour des conflits comme en Irak (bombardement intensif de la population). Pour mieux comprendre ceci, lisez ou regardez « la stratégie du choc » 

Ainsi, notre économie tout entière s’est basée sur les fondements du néolibéralisme. 
Premier fondement : L’homme pourra être heureux grâce à la consommation matérielle. Ceci implique une volonté d’accroitre la croissance économique le plus possible, jusqu’à l’infini. En effet, plus on produit, plus consomme, plus l’Homme est heureux. 
Deuxième fondement : le néolibéralisme fonctionne dès lors que le marché est libre. L’Intervention de l’état et des individus sont considérées comme des interférences au bon fonctionnement de la « main invisible » du marché. Le rêve néolibérale s’est un pays où l’état n’est que le garant de la sécurité et les marchands s’occupe du reste. Un monde où l’échec est considéré comme une inadaptation au système. 

Avec ces deux fondements principaux, le néo libéralisme pousse l’Homme à la consommation à l’extrême sans se soucier de l’impact à moyen et long terme. 

Depuis l’avènement du néo libéralisme, tous les pays occidentaux ont perdu leurs pouvoirs de création monétaire permettant ainsi les banques de prêter de l’argent aux états avec intérêt. Ces intérêts ont permis l’apparition de notre dette à 80% aliénant ainsi les états aux banques privés. 

Quand ces banques privés (Société Générale, Caisse d'Epargne,...) ont besoin d'argent, elles empruntent également avec intérêt aux banques centrales. Mais comment font-elle pour rembourser de l'argent qu'elles n'ont pas? Elles spéculent à l'excès, ou mieux, elles nous vendent des crédits avec des taux extravagants. Et si jamais nous ne payons pas, elles nous saisissent de nos possessions. L'état ne peut plus rien pour nous, il a déjà vendu son pouvoir et sa souveraineté. Nos impôts servent uniquement à rembourser la dette, l'état ne fait que les collecter pour les banques. 


Mais pourquoi devrais-je prendre un crédit? Parce que dans notre société, argent = bonheur, plus on a d'argent et de biens, plus on a le sentiment d'être heureux. Pourtant, les statistiques montrent que les gens sont de moins en moins heureux depuis les années 50. 
indice bonheur en fonction du temps 
Toute notre société nous persuade que l'on doit acheter pour être heureux. La pub, les médias, les personnes qui ont plus que nous. La consommation s'appuie uniquement sur notre ego, notre besoin d'exister et d'avoir plus que l'autre. Les publicités nous répètent à longueur de temps que nos cheveux, notre voiture, notre cuisine,etc, pourraient être plus brillants, plus beaux, plus luxueux, plus modernes, en bref, que l’on n’en a pas assez et surtout que ce n'est jamais assez bien. La solution pour être dans le coup ? Consommer! Alors on travaille 35h par semaine pendant 40 ans pour pouvoir consommer, pour se donner l'illusion d'avoir une vie meilleure . 
Comme tout le monde reçoit les mêmes publicités / médias, On finit tous par penser pareil, s'habiller pareil, vivre pareil. Le pire dans tout cela, c'est que la publicité, les émissions et les médias délivrent beaucoup de messages subliminaux à travers les images, et, ces messages sont une atteinte à la dignité de l'homme et de la femme (hyper sexualisation de la société, femme considérée comme un objet), mais aussi à son intelligence (Secret Story et autre télé réalité). Ceci nous rend de plus en plus docile et malheureux, nous forçant à consommer encore plus et nous cache la vérité. 


Pour conclure, je dirais qu'il est nécessaire de se poser les bonnes questions. Je pensais que notre gouvernement était élu pour protéger et agir dans notre intérêt, or ce n'est évidement pas cas. Nous avons le droit et même le devoir de nous demander à qui profite ce crime. Nous devons nous demander comment et pourquoi nos gouvernements ont laissé faire ça. Pourquoi personne n'a rien fait pour arrêter ça? Je ne fais qu'ouvrir une porte, c'est à vous de la franchir 

Mieux s'informer pour mieux lutter (A voir, les excellents articles de ce site très bien documenté)